un “jalon triste et tragique”, pour le chef de l’ONU

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17h56 : En six mois de conflit, près de 500 attaques ont ciblé des centres de santé en Ukraine, provoquant la mort d’au moins 98 personnes, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Au moins 134 personnes ont également été blessées dans ces attaques visant des centres de soin.

17h32 : Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s’est exprimé dans un message vidéo devant le Conseil de sécurité de l’ONU aujourd’hui, six mois après le début de l’offensive russe en Ukraine. La Russie doit stopper son “chantage nucléaire” et se retirer de la centrale de Zaporijjia, a-t-il martelé.

17h10 : Antonio Guterres a également notamment répété, face au Conseil de sécurité, “sa profonde inquiétude” concernant les activités militaires autour de la centrale nucléaire de Zaporijjia (Ukraine). “Toute nouvelle escalade de la situation pourrait conduire à l’autodestruction.”

17h07 : “Aujourd’hui marque un jalon triste et tragique, les six mois depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie le 24 février.” Devant le Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a dénoncé une guerre “absurde” en Ukraine, évoquant “les conséquences” de ce conflit, pour les Ukrainiens mais également “bien au-delà de l’Ukraine”.

17h14 : C’est la fin de cet échange sur le conflit en Ukraine avec Olivier Kempf, directeur du cabinet stratégique La Vigie et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique. Merci à vous pour vos questions !

17h00 : Pour l’Ukraine, il s’agit d’une guerre totale, d’une guerre existentielle. Le président Volodymyr Zelensky est dans une position très inconfortable, car il a trois objectifs en même temps : d’abord, les opérations militaires ; ensuite, entretenir le feu sacré de la population, et en même temps, entretenir la flamme de l’intérêt occidental car c’est ce qui lui permet de tenir. Il doit faire ces trois choses en même temps, ce qui explique aussi son discours disant : “Nous luttons jusqu’à la victoire”. Ce qui, sur le terrain, paraît difficile.

Quant à la population ukrainienne, elle connaît six à sept millions de déplacés internes, ainsi que six à sept millions de réfugiés. Autrement dit, entre un tiers et 40% de la population ukrainienne n’est plus chez elle, donc il s’agit d’une société profondément affectée par la guerre. Mais jusqu’à présent, elle a fait bloc. Jusqu’à présent, il n’y a pas de signe de lassitude. Néanmoins, l’hiver arrive. Ce soutien tient pour l’instant, mais il peut être fragile.

16h55 : Le peuple ukrainien est-il prêt à tout pour défendre leur pays comme leur président l’annonce dans un discours ? Y a-t-il des signes de lassitude ?

17h01 : Cela étant, Moscou doit présenter un bilan positif, et pour l’instant ce n’est pas vraiment le cas si l’on regarde ce qui avait dit au départ. Le Kremlin est néanmoins allé trop loin pour revenir en arrière. Il est impensable que Moscou accepte de rendre ce qui a été pris au niveau de Kherson et de Zaporijjia. Il va continuer à pousser pour grignoter encore. S’agit-il d’une porte de sortie ? Pas vraiment. Donc la situation est assez bloquée.

17h02 : Vladimir Poutine souhaitait, à l’origine, décapiter le pouvoir à Kiev. Il n’a pas réussi. Il voulait prendre le contrôle d’une grande partie de l’Ukraine, mais il n’a pris le contrôle que d’une partie seulement. L’objectif dans l’oblast de Louhansk est atteint, ce n’est toutefois pas le cas dans l’oblast de Donetsk. Dans l’oblast de Kherson, il lui manque encore quelques parties. La question est ensuite de savoir s’il aurait envie d’aller jusqu’à Odessa : la réponse est oui, mais il ne semble pas en avoir les moyens. C’est quelque chose qu’il ne présentera probablement pas, car cela paraît inatteignable.

16h50 : Bonjour, quelles peuvent être les portes de sortie “acceptables” pour Poutine pour mettre fin à l’offensive ? La conquête du Donbass ? Le contrôle total de la façade maritime ? La chute du pouvoir de Kiev ? Les objectifs deviennent assez flous (pour peu qu’ils aient pu être clairs…) Merci !

16h44 : Nous nous dirigeons donc vers un conflit gelé, mais un conflit gelé n’est pas un non-conflit : il continuera à y avoir des échanges de tirs, des frappes d’artillerie. Il y aura des morts et des blessés, mais en nombre probablement moins important que ce que l’on a connu ces six derniers mois. Cela renvoie à une situation comparable à ce que l’on a connu entre 2015 et 2022 dans le Donbass.

16h43 : A partir de cet automne, le mauvais temps va entraver les manœuvres. Surtout qu’il n’y a pas eu beaucoup de mouvements au cours de l’été. Ils vont encore plus se figer avec l’hiver. Il faudra probablement attendre la fin du dégel avant de revoir des mouvements. Les deux parties vont en profiter pour reconstituer leurs forces : aussi bien les ressources humaines, qui ont été éprouvées, en quantité et en qualité ; elles vont probablement réfléchir à de nouvelles tactiques, à l’organisation d’état-major et de commandement ; et puis, tout ce qui concerne le matériel et l’équipement, avec des armements et des munitions. Les Russes compteront sur eux-mêmes et les Ukrainiens compteront sur l’aide occidentale.

16h43 : Bonjour monsieur, à l’approche de l’hiver, est-ce que la Russie sera en position de force ?

16h38 : Cette manœuvre là a commencé il y a cinq ou six semaines. On a beaucoup parlé de la contre-offensive ukrainienne vers Kherson, mais jusqu’à présent, il s’agit plutôt de frappes visant à affaiblir le dispositif logistique russe, et peut-être lancer cette manœuvre offensive sur le terrain d’ici quelques semaines. Donc pour l’instant, la contre-offensive, ce n’est pas de la manœuvre, c’est juste de la frappe dans la profondeur contre le dispositif logistique russe.

16h38 : La stratégie de corrosion est finalement la guerre d’usure, version ukrainienne, qui consiste à appuyer des feux sur la première ligne de contact mais surtout à essayer de casser toute la ligne d’approvisionnement des Russes : à la fois les dépôts (carburant, munitions, matériel, postes de commandement) et les axes logistiques, notamment les ponts. C’est particulièrement pertinent dans la région de Kherson : la rive droite du Dniepr n’est reliée à la rive gauche que par deux ponts. Cela freine les efforts russes dans cette zone-là.

16h37 : Question pour M.Kempf : que pensez-vous de la notion de “stratégie de corrosion” employée par certains experts pour décrire l’action de l’Ukraine notamment dans la région de Kherson? Est-ce pour vous une notion pertinente? A-t-elle des chances de succès ?

16h32 : Les données du ministère de la Défense russe sont assez faibles : ils vont officiellement dire qu’il y a moins de 10 000 morts. Des estimations occidentales annoncent 15 000 morts parmi les militaires russes, voire 20 000 morts. Il y a probablement au moins une dizaine de milliers de décès. Mais il faut rester prudent, il s’agit d’une estimation qui ne s’appuie pas sur des données objectives.

Comment cela est-il accueilli par la société russe ? Nous avons peu d’indices, mais nous n’avons pas encore beaucoup d’échos de mouvements de mères de soldats comme il y avait pu en avoir au moment de la guerre en Afghanistan. Après, la Russie contrôle énormément l’information. Bien évidemment, il n’y aura aucune voie discordante qui apparaîtra dans les médias de grande diffusion.

16h32 : Bonjour. A-t-on une idée du nombre de morts russes dans ce conflit ? Quelle perception en ont les Russes ? Merci !

16h26 : L’enjeu est aussi celui de l’approvisionnement électrique de l’Ukraine. Zaporijjia fournissait un quart du courant électrique au pays. Je ne sais pas si cela a été coupé, mais il s’agit potentiellement d’une source majeure d’électricité pour l’Ukraine désormais sous contrôle russe. Il s’agit d’un des enjeux sous-jacents de cette centrale.

16h25 : Après, la centrale se trouve finalement sur une ligne de front. Elle est à la jointure entre les territoires ukrainiens contrôlés par les Russes et les territoires ukrainiens contrôlés par Kiev. Il semble que les Russes stationnaient dans l’enceinte de la centrale des dépôts de munitions, de matériel, en se disant que ces dépôts les protégeraient, car ils sont à côté d’une centrale nucléaire. Il y aurait eu des obus tombés sur la centrale : les Russes et les Ukrainiens s’accusent mutuellement, ce qui a provoqué une action diplomatique. Les Russes sont plus ou moins entrés dans cette négociation. En conclusion, il y a un risque radioactif, qui semble malgré tout maîtrisé. Cette affaire est devenue une affaire politique, le sujet est tombé dans les relations internationales.

16h22 : Il s’agit de nucléaire civil, il ne s’agit pas d’une bombe nucléaire militaire. Le risque est radioactif civil. Vous pouvez avoir des accidents de centrale civile, comme ce qui s’est passé à Tchernobyl. Ce risque est évident. Si le cœur du réacteur nucléaire semble très protégé, tous les objets et accessoires faisant fonctionner la centrale le sont moins : cela peut provoquer des dysfonctionnements qui peuvent avoir des conséquences évidentes. Il y a un risque d’incident voire d’accident radioactif sur cette centrale.

16h22 : Bonjour, la menace autour de la centrale nucléaire est-elle réelle ? Est-il vraiment raisonnable de penser que Monsieur Poutine ou un autre belligérant irait aussi loin après avoir subi les conséquences directes de Tchernobyl ? Ne se trouve-t-on pas dans un processus de désinformation et de chantage au nucléaire comme pendant la Guerre Froide ?

16h15 : Donner un chiffre précis est très difficile, d’autant qu’il y a les déclarations et il y a la réalité des transferts. L’ensemble des pays européens et nord-américains ont fourni d’abord du matériel, de différents types et de différente qualité, puis ont donné de l’argent. Ils ont également accueilli des réfugiés ukrainiens. Il y a eu des aides beaucoup moins visibles mais importantes, comme la formation et l’entraînement de combattants ukrainiens, soit sur le matériel transmis, soit des choses plus générales. Et puis il y a des appuis en matière de renseignement, d’observation du champ de bataille, ainsi qu’un appui cyber et satellitaire.

16h13 : Bonjour, savez-vous à combien s’élève l’aide militaire totale fournie par les États-Unis à l’Ukraine depuis le début du conflit ? Merci

16h10 : La question, ensuite, est leur acheminement vers le front. On voit bien qu’il y a une manœuvre ukrainienne de frappes sur ces dépôts de munitions. Ces frappes sont permises par des moyens occidentaux. Les Ukrainiens ont réussi à réduire la pression de feu russe, mais les Russes ont les moyens de persévérer et de maintenir une pression suffisante sur l’ensemble du front. Et donc, on a eu un rééquilibrage des deux forces.

16h12 : Les Russes ont déstocké beaucoup de vieux armements, de vieux canons et de vieux chars. Cela étant, ils avaient des stocks : ils ont débloqué des stocks de l’Union soviétique, ce qui donne une certaine profondeur de ressources. Bien sûr, ce sont des armes vieilles, imprécises, mais elles permettent aux Russes d’animer le front, d’avoir une action offensive d’artillerie sur le front. Au niveau des munitions, il y avait des stocks. Les usines de fabrication de ces munitions sont pour la plupart encore en Russie. Comme il s’agit de munitions de masse, les Russes ont probablement de la capacité pour tenir dans la durée.

16h10 : Bonjour, les Russes ont ils encore beaucoup de stock d’armes et pour combien de temps au rythme où ils les utilisent depuis 6 mois de guerre. D’autre part, ont ils les moyens de les fabriquer à la demande des besoins ? Merci pour vos infos

16h02 : Les Russes ont 100% de l’oblast de Louhansk. Ils tiennent 66 à 68% de l’oblast de Donetsk. Le front est aujourd’hui quasiment à l’arrêt depuis trois semaines. Il y a eu très peu d’évolution depuis la chute de Severodonetsk et Lyssytchansk. Les gains territoriaux sont depuis très faibles et ils sont concentrés soit autour de Bakhmout, soit au niveau des faubourgs de Donetsk. Il y a eu quelques très faibles progressions russes, au maximum quelques villages.

16h03 : Bonjour M. Kempf. Actuellement, quel est le pourcentage de la superficie du Donbass controlé par les séparatistes et l’armée russe ? Ce front est-il à l’arrêt ou l’un des camps gagne-t-il du terrain ?

15h57 : Nous accueillerons dans quelques minutes dans ce live Olivier Kempf, directeur du cabinet stratégique La Vigie et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique. Il va répondre à vos questions sur l’état des forces ukrainiennes et russe et les suites de la guerre en Ukraine. N’hésitez pas à continuer de nous interroger à ce sujet.

17h03 : Six mois après le lancement de l’offensive russe en Ukraine, le Guardian (lien en anglais) revient en images sur le conflit, à l’heure où l’Ukraine célèbre également son Jour de l’indépendance.

15h35 : What happens in Ukraine matters to us all. That is why I am in Kyiv today. That is why the UK will continue to stand with our Ukrainian friends. I believe Ukraine can and will win this war.

15h34 : Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, est arrivé en Ukraine à l’heure des célébrations pour le Jour de l’indépendance, et six mois après le début de l’offensive russe. “C’est la troisième fois que Boris Johnson est en Ukraine depuis le début de l’invasion russe. Tous les pays ne sont pas si chanceux d’avoir un tel ami”, a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, en le recevant.

15h20 : Bonjour @Kat, en effet, Lucas Broucq, suppléant du député RN de Dordogne Serge Muller, est venu perturber un rassemblement de familles ukrainiennes célébrant le Jour de l’indépendance de leur pays à Bergerac (Dordogne), rapporte France Bleu Périgord. Il a invectivé plusieurs participants à l’événement et s’est présenté avec un drapeau ressemblant à celui de l’une des républiques séparatistes autoproclamées du Donbass en Ukraine. Une enquête a été ouverte pour provocation à la haine raciale.

15h18 : Le suppléant du député Rassemblement National de #DORDOGNE Serge Muller perturbe un rassemblement de réfugiés ukrainiens, une enquête ouverte

14h51 : Six mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, dans quel état sont les forces russes et ukrainiennes ? Comment la situation sur le front pourrait-elle évoluer ? Olivier Kempf, directeur du cabinet stratégique La Vigie et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique, répondra à vos questions dans ce live à partir de 16 heures. N’hésitez pas à nous poser vos questions d’ici là dans les commentaires, avec le mot-dièse #UKRAINE.

14h40 : Le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et celui de l’Agence atomique russe ont discuté aujourd’hui d’une inspection de la centrale nucléaire de Zaporijjia (Ukraine), plusieurs fois bombardée. “La partie russe partage l’intention (…) d’organiser une telle mission dans un avenir proche, dès que la situation militaire sur le terrain le permettra, et est prête à apporter toute sorte de soutien, y compris logistique”, assure l’agence russe.

14h32 : “Fate shall smile” to 🇺🇦 Ukraine and to Europe.We congratulate Ukrainians who mark their Independence Day while defending and fighting for it. We will always #StandWithUkraine and #StandForFreedom. Slava Ukraini. Together, we are Europe.© @SamIllustration

14h31 : MoFA @JoaoCravinho is in #Ukraine. On the day that precisely 6 months have passed since the invasion and the country celebrates the 31st anniversary of its independence, the head of 🇵🇹 diplomacy reiterates Portugal’s support and cooperation to the country at war. @MFA_Ukraine https://t.co/qajGXU3jZS

14h30 : For six months, global citizens in cities across the world have spoken out against Russian aggression, showing unity and support for the people of Ukraine. #UnitedWithUkraine

14h31 : Sur Twitter, de nombreux ministères des Affaires étrangères expriment également leur soutien à l’Ukraine, à l’occasion du Jour de l’indépendance ukrainien et six mois après les débuts de l’offensive russe.

14h24 : Українки, Українці, іменем Франції в цей День Незалежності України Я передаю вам послання дружби.Ukrainiennes, Ukrainiens, au nom de la France, en ce Jour de l’Indépendance de l’Ukraine, je tenais à vous adresser ce message d’amitié.

14h26 : Emmanuel Macron s’adresse aux Ukrainiennes et aux Ukrainiens, à l’occasion du Jour de l’indépendance et six mois après le début de l’offensive russe. “Vous pouvez en ce 31e anniversaire de votre indépendance être fiers de ces 31 ans de la vie contemporaine de votre pays dans ses frontières, et de sa résistance exceptionnelle”, lance le chef de l’Etat.

14h20 : Le président américain, Joe Biden, annonce une nouvelle aide militaire de près de trois milliards de dollars pour l’Ukraine. “Cela permettra à l’Ukraine d’acquérir des systèmes de défense aérienne, des systèmes d’artillerie et des munitions (…) et des radars pour nous assurer qu’elle puisse continuer à se défendre sur le long terme”, assure le dirigeant.

14h03 : 14 heures, faisons un nouveau point sur l’actualité de la journée :

“Nous allons nous battre jusqu’au bout”, a lancé le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors de son adresse à la Nation pour le Jour de l’indépendance ukrainien, six mois jour pour jour après le début de l’offensive russe en Ukraine. Suivez notre direct.

Six mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, dans quel état sont les forces russes et ukrainiennes ?Olivier Kempf, directeur du cabinet stratégique La Vigie et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique, interviendra dans ce live à partir de 16 heures. N’hésitez pas à nous poser vos questions d’ici là dans les commentaires, avec le mot-dièse #UKRAINE.

Le Conseil des ministres de rentrée s’est tenu ce matin, Emmanuel Macron appelant le gouvernement à “l’unité” face à “la grande bascule” qui marque la rentrée avec “la fin de l’abondance”, “des évidences” et “de l’insouciance”. Voici ce qu’il faut retenir de la prise de parole d’Olivier Véran, porte-parole du gouvernement, à l’issue de ce temps fort de la rentrée politique.

Depuis ce matin, les loyers des logements énergivores, catégories F et G sur le diagnostic de performance énergétique (DPE), ne peuvent plus augmenter.

13h06 : Six mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, dans quel état sont les forces russes et ukrainiennes ? Comment la situation sur le front pourrait-elle évoluer ? Olivier Kempf, directeur du cabinet stratégique La Vigie et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique, répondra à vos questions dans ce live à partir de 16 heures. N’hésitez pas à nous poser vos questions d’ici là dans les commentaires, avec le mot-dièse #UKRAINE.

12h05 : Il est 12h05, faisons un point sur les principaux titres de l’actualité à la mi-journée :

#POLITIQUE Le gouvernement est de retour aux affaires avec un Conseil des ministres organisé ce matin à l’Elysée. En préambule, Emmanuel Macron a assuré que la France et l’Europe vivaient “la fin de l’abondance”.

Six mois jour pour jour après le début de l’invasion russe, l’Ukraine estime par la voix de son ministre de la Défense que “le pire scénario est derrière [eux]“. “Nous allons nous battre jusqu’au bout”, a assuré Volodymyr Zelensky ce matin.

Depuis ce matin, les loyers des logements énergivores, catégories F et G, ne peuvent plus augmenter.

Dans le tunnel sous la Manche, des passagers ont été évacués par un tunnel de service, hier soir, après un incident.

11h39 : Dans le Var, une quarantaine d’Ukrainiens se sont installés à Draguignan dans des conteneurs maritimes spécialement aménagés pour eux. Une équipe de France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur s’est rendue dans le “Village Ukraine”, comme ils ont surnommé ce nouveau quartier.


(M.Meuneveaux/FTV
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11h32 : Bonjour Thibaud. Une pensée pour l’Ukraine et le peuple ukrainien, si courageux, en ce jour qui devrait être un jour de joie pour eux.

11h28 : En ce 24 août, jour de célébration de l’indépendance de l’ #Ukraine (1991), une marche a lieu à #Agen #LotEtGaronne en présence de réfugiés et de sympathisants. 📸@thmilon_ftvCc @infofrance3 @franceinfo @F3Regions @FlorianRinguede @lehesran https://t.co/kq13OBoW6W

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