Moscou autorise des ressortissants syriens à se porter volontaire pour aider la Russie

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12h08 : Rappelons les principales infos du jour :

Matignon annonce la levée du statut de “détenu particulièrement signalé” d’Alain Ferrandi et Pierre Alessandri, membres du commando qui avait assassiné le préfet Erignac. Cette levée, ouvrant la voie à leur transfèrement en Corse, était réclamée par les manifestants qui dénoncent l’agression d’Yvan Colonna.

Les dirigeants des Etats de l’UE sont toujours réunis à Versailles pour un sommet marqué par la crise ukrainienne. Au menu des débats : renforcer la défense commune ou encore réduire la dépendance au pétrole et au gaz russes. Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, propose de doubler le financement d’armes pour l’Ukraine.

#UKRAINE Alors que de nouveaux pourparlers n’ont rien donné, la guerre continue. Volodymyr Zelensky a une nouvelle fois accusé la Russie d’avoir attaqué un couloir humanitaire. Moscou, d’une part, et Washington et Kiev, de l’autre, s’accusent mutuellement de préparer l’utilisation d’armes chimiques et biologiques.

Maxime Montaggioni, en banked slalom de snowboard, et Benjamin Daviet, dans l’épreuve individuelle de biathlon, ont apporté deux nouvelles médailles d’or à la France.

12h05 : Je vous rappelle que France Culture publie chaque soir un podcast d’une dizaine de minutes élaboré par les nombreux reporters de Radio France sur le terrain en Ukraine et dans les pays voisins. Une journaliste ukrainienne, installée en France, a par ailleurs filmé pour “Envoyé spécial” son retour dans son pays pour couvrir l’invasion russe. Son carnet de route est visible en ligne.

12h04 : C’est aussi à Lviv que les équipes d'”Envoyé spécial” ont observé l’afflux de jeunes Ukrainiens dans les rangs de l’armée, mais aussi de milices comme Pravyi Sektor, un mouvement paramilitaire d’extrême droite. L’extrait ci-dessous est tiré de l’émission d’hier, que vous pouvez revoir sur notre site (en cliquant sur le titre des différents sujets).

12h04 : Pour les habitants qui ont décidé de fuir, Lviv, la grande ville de l’ouest ukrainien, est la destination privilégiée, sur le chemin de la Pologne ou de la Slovaquie. Pour l’instant épargnée par les frappes, elle est submergée par l’afflux de réfugiés, racontent Fabien Gosset et Sandrine Etoa-Andegue. “Nous voulons partir plus loin, parce qu’ici, il n’y a plus de place. Tout le monde veut s’installer ici”, leur a expliqué Anna, une habitante de Kharkiv sur le point de monter dans un car pour la Pologne.

11h46 : La peur domine également les témoignages des civils rencontrés par Marc Garvenes et Vanessa Descouraux à Mykolaïv, un port du sud du pays, dernier rempart sur la route d’Odessa. Contraints de se cacher pour échapper aux bombardements, ils refusent pour l’instant de partir : Ici, j’ai mes racines, mes ancêtres, mes parents. Tout”, martèle Raissa.

(VANESSA DESCOURAUX / RADIO FRANCE)

12h04 : A Kiev, notre journaliste Boris Loumagne fait le portrait d’un des nombreux engagés volontaires dans l’armée ukrainienne. Andreï, ci-dessous, est architecte d’intérieur dans le civil. “Pour être honnête, oui j’ai peur”, reconnaît-il. “On nous a annoncé par radio que les tanks russes se rapprochaient de notre barrage.”

(BORIS LOUMAGNE / RADIO FRANCE)

11h38 : Dans un point sur la situation militaire, cette nuit, l’état-major ukrainien affirme que l’armée russe a tenté “d’entamer une offensive” vers les grandes villes de Zaporijia et Kryvyï Rih, dans le centre du pays, non loin de Dnipro, qui a été frappée pour la première fois ce matin. Les mouvements russes visent aussi plusieurs villes périphériques de Kiev, au nord et à l’ouest de la capitale, et pourrait s’étendre vers l’est.

11h35 : “Les gens ont commencé à se battre pour la nourriture. D’autres ont détruit la voiture d’une autre personne pour en retirer l’essence”.

Dans un message transmis à la presse, un représentant du Comité international de la Croix-Rouge décrit une situation alarmante à Marioupol, port du sud de l’Ukraine assiégé par l’armée russe.

11h29 : Sur Facebook et Instagram, les propos violents seront davantage tolérés s’ils visent la Russie, en raison de l’invasion de l’Ukraine, a annoncé Meta, la maison mère des deux réseaux sociaux. Un message comme “Mort aux envahisseurs russes” ne sera plus sanctionné, explique-t-elle.

11h20 : La Géorgie est officiellement qualifiée pour la Coupe du monde 2023 de rugby, qui se jouera en France. Déjà bien placés pour décrocher leur billet, les Géorgiens profitent de la disqualification de la Russie, décidée en réponse à l’invasion de l’Ukraine. L’Espagne, le Portugal et la Roumanie sont en course pour la dernière place directement qualificative.

11h01 : “Les biens civils, comme les écoles ou les hôpitaux, ne devraient pas faire l’objet d’attaques ou de bombardements. De même que d’affamer les civils délibérément, ne pas envoyer les secours ou forcer la population à fuir : cela tend à être des crimes de guerre.”

Même en cas de conflit armé, il y a des règles à respecter. “Les crimes de guerre sont codifiés par le droit international”, explique à franceinfo Clémence Bectarte, avocate qui représente la Fédération internationale pour les droits humains et la coalition française à la Cour pénale internationale.

11h01 : “Un crime de guerre odieux” : le chef de la diplomatie de l’Union européenne et la présidente de la Commission européenne n’ont pas mâché leurs mots, hier, après le bombardement par l’armée russe d’un hôpital pour enfants à Marioupol en Ukraine. Mais qu’est-ce qu’un crime de guerre précisément ? Pour mieux comprendre, je vous éclaire sur cette notion apparue au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

(SANDRA UITTENBOGAART / ANP MAG / AFP)

11h09 : Outre ces contrôles stricts, les entreprises qui quittent la Russie pourraient faire l’objet d’une forme de nationalisation de fait : sans prononcer ce terme, Vladimir Poutine envisageait hier que des administrateurs russes soient nommés à leur tête pour qu’elles continuent à fonctionner. Hier soir, un oligarque pourtant proche de Poutine, Vladimir Potanine, a osé une rare critique de ces déclarations : “Cela nous ramènera cent ans en arrière, en 1917”, a-t-il prévenu.

10h55 : Le parquet russe a mis la pression sur les entreprises étrangères qui suspendent leurs activités en Russie en réponse à l’invasion de l’Ukraine. Il a ordonné un “contrôle strict” de ces entreprises, qu’il s’agisse du “respect de la législation du travail”, du “paiement des salaires” ou de l’exécution de leurs contrats.

10h53 : Nous vous parlions tout à l’heure de l’appel de Vladimir Poutine à mobiliser des volontaires pour renforcer l’armée russe. Les parrains occidentaux du régime ukrainien ne se cachent même pas” et rassemblent ouvertement “des mercenaires du monde entier pour les envoyer en Ukraine”, a-t-il expliqué pour justifier sa mesure. Une déclaration qui fait peut-être référence à la création d’une légion d’étrangers volontaires intégrée à l’armée ukrainienne, mais qui n’est pas composée de mercenaires.

10h49 : L’arme nucléaire est revenue dans les esprits avec les menaces de Vladimir Poutine en marge de la guerre en Ukraine. Et peut-être vous êtes-vous demandé où trouver un bunker. France 2 s’est rendu en Suisse, un pays bien mieux équipé que la France : les abris antiatomiques y sont obligatoires dans toutes les nouvelles constructions depuis les années 1960.

10h41 : Josep Borrell est à Versailles, où sont réunis les chefs d’Etat et de gouvernement des 27 Etats membres de l’UE. “Je suis certain que les dirigeants vont soutenir” cette proposition, déclare-t-il.

10h40 : Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, propose de doubler le financement européen pour fournir des armes à l’Ukraine, de 500 millions à 1 milliard d’euros.

10h38 : Près de 2,5 millions de personnes ont fui l’Ukraine depuis le début de l’offensive de l’armée russe, selon le décompte de l’agence des Nations unies chargée des réfugiés (lien en anglais). Plus de 1,5 million d’entre eux se trouvent en Pologne, et plus de 282 000 ont gagné un pays européen qui n’est pas voisin de l’Ukraine.

10h28 : L’ONG Human Rights Watch dit avoir comptabilisé plus de 13 500 arrestations d’opposants en Russie depuis le début de l’invasion de l’Ukraine. “L’objectif est clairement d’intimider la population et de la contraindre au silence”, a expliqué son directeur en Europe, Philippe Dam, sur franceinfo.

10h24 : Interpol, l’organisation internationale de coopération policière, ne suspendra pas la Russie, malgré la demande de plusieurs autres pays membres dont les Etats-Unis. Elle rappelle sa “neutralité”. En revanche, les messages transmis par la Russie feront l’objet de contrôles renforcés “pour éviter tout abus potentiel”.

10h10 : Vladimir Poutine ordonne à son armée de faciliter l’envoi de volontaires en Ukraine. “Si vous voyez que des gens veulent y aller volontairement, qui plus est pas pour de l’argent, et aider ceux qui vivent dans le Donbass, alors il faut aller à leur rencontre et les aider à rejoindre la zone de combat“, a-t-il répondu à une proposition de son ministère de la Défense.

09h19 : Il est l’heure d’un point sur l’actualité, un peu décalé par l’annonce de Matignon :

Matignon annonce la levée du statut de “détenu particulièrement signalé” d’Alain Ferrandi et Pierre Alessandri, membres du commando qui avait assassiné le préfet Erignac. Cette levée, ouvrant la voie à leur transfèrement en Corse, était réclamée par les manifestants qui dénoncent l’agression d’Yvan Colonna.

Les dirigeants des Etats de l’UE sont toujours réunis à Versailles pour un sommet marqué par la crise ukrainienne. Au menu des débats : renforcer la défense commune ou encore réduire la dépendance au pétrole et au gaz russe. Hier, ils ont écarté l’hypothèse d’une adhésion immédiate de l’Ukraine.

#UKRAINE Alors que de nouveaux pourparlers n’ont rien donné, la guerre continue. Volodymyr Zelensky a une nouvelle fois accusé la Russie d’avoir attaqué un couloir humanitaire. Moscou, d’une part, et Washington et Kiev, de l’autre, s’accusent mutuellement de préparer l’utilisation d’armes chimiques et biologiques.

Deux ans après le début de la pandémie, les contaminations repartent à la hausse en France. Un nouveau protocole sanitaire, allégé, entrera en vigueur lundi dans les écoles, collèges et lycées. Voici ce qui va bientôt changer dans les établissements scolaires.

Maxime Montaggioni, en banked slalom de snowboard, et Benjamin Daviet, dans l’épreuve individuelle de biathlon, ont apporté deux nouvelles médailles d’or à la France.

09h01 : Bonne nouvelle, cependant, selon Michel-Edouard Leclerc, le PDG du groupe du même nom : les prix au litre du carburant devraient baisser de 35 centimes la semaine prochaine, explique-t-il sur RMC, grâce à une baisse du cours du pétrole et une hausse de la valeur de l’euro. S’il s’exprime au nom de son groupe, il estime que l’évolution sera similaire dans les autres stations service.

08h55 : Si de nouvelles aides sont décidées face à la hausse des prix des énergies, elles n’attendront pas forcément l’élection présidentielle, assure le ministre délégué Olivier Dussopt : “On peut aller plus vite” en redéployant le budget de l’Etat, voir convoquer à nouveau les députés “en cas d’absolue nécessité”.

08h54 : Sur Europe 1, le ministre délégué chargé des Comptes publics, Olivier Dussopt, continue de rejeter l’idée d’une baisse des taxes sur le carburant : “Avant d’en venir à de telles hypothèses, il y a d’autres modalités qui sont possibles”.

08h48 : “Nous travaillons à nous débarrasser totalement de la Russie comme fournisseur d’hydrocarbures”, affirme sur franceinfo le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, qui s’engage à réduire de deux tiers l’approvisionnement en gaz russe de l’UE. Il affirme qu’il n’y a pas de risque immédiat de pénurie : les Européens ont “ce qu’il faut” pour passer l’hiver, “mais il faut nous préparer pour l’hiver prochain et l’année 2023”.

08h46 : La dépendance aux importations d’énergies fossiles depuis la Russie est aussi au sommaire du sommet de Versailles. Hier, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé sur Twitter qu’elle proposerait l’objectif d’une indépendance totale de cette source d’approvisionnement d’ici à 2027.

08h36 : Bonjour . La procédure d’examen de ces trois candidatures est lancée depuis lundi, mais cette démarche dure habituellement des années, quand elle aboutit. Les dirigeants des Etats de l’UE ont abordé la question hier à Versailles, mais ne sont pas tombés d’accord. “Est-ce qu’on peut aujourd’hui ouvrir une procédure d’adhésion avec un pays en guerre ? Je ne le crois pas”, a estimé Emmanuel Macron, tout en assurant que la porte n’était pas fermée à plus long terme. L’heure n’est pas aux débats de procédure et les Ukrainiens “méritent un message politique fort”, a plaidé le Premier ministre slovène, Janez Jansa.

Finalement, la déclaration commune adoptée à l’issue des débats affirme que “l‘Ukraine fait partie de notre famille européenneet appelle à la “soutenir (…) dans la poursuite de son parcours européen”. Une façon polie de dire non à Kiev.

08h36 : Des nouvelles de l’examen de la candidature de l’Ukraine à l’UE ? Les candidatures de la Géorgie et de la Moldavie sont-elles aussi examinées maintenant ?

08h01 : Dans la presse nationale, deux belles unes ce matin. L’Humanité rapporte des images de Kiev qui se prépare à un siège, et Libération s’inquiète pour les enfants pris dans cette invasion : “C’est toute une génération qui est sacrifiée par Poutine”.

08h00 : Il est grand temps de faire la revue de presse. Comme tous les jours, les quotidiens régionaux offrent un autre regard sur la crise ukrainienne, vue par ceux qui aident les réfugiés en France et aux frontières ukrainiennes, comme le pompier interrogé par Le Journal de Saône-et-Loire.

08h01 : La Russie semble étendre son offensive à de nouvelles villes. Après Dnipro, c’est Loutsk, dans le nord-ouest de l’Ukraine et non loin de la Pologne, qui a été visée : le ministère de la Défense russe revendique avoir “mis hors service” l’aérodrome militaire de cette ville, de même que celui d’Ivano-Frankivsk, un peu plus au sud. Le maire de Loutsk a alerté sur Facebook au sujet “d’explosions du côté de l’aéroport”.

07h44 : Cette question est en première ligne de la guerre d’information ces derniers jours. La Russie assurait hier avoir découvert en Ukraine des laboratoires de recherche sur les armes biologiques. Mais, dès mercredi, les Etats-Unis avaient devancé cette déclaration en accusant Moscou et la Chine de “désinformation” à ce sujet. Washington dit craindre que l’armée russe se prépare à utiliser des armes chimiques en Ukraine et à déguiser ces attaques en actions ukrainiennes.

07h44 : Le Conseil de sécurité de l’ONU tiendra une réunion d’urgence cet après-midi (17 heures en France) à la demande de la Russie, qui dit vouloir évoquer la fabrication d’armes biologiques par l’Ukraine et les Etats-Unis.

07h09 : Ces 14 milliards de dollars serviront notamment à fournir “de la nourriture, des médicaments, des abris, un soutien aux plus de deux millions de réfugiés et des ressources pour l’économie ukrainienne qui est en ruine”, a détaillé le chef des démocrates au Sénat, Chuck Schumer. “Elle permettra aussi des transferts d’armes comme les [lance-missiles] Javelin et Stinger, elle rassurera et renforcera l’Otan”, a-t-il ajouté.

07h08 : Le Sénat américain a, à son tour, approuvé l’enveloppe de près de 14 milliards de dollars destinée à l’Ukraine et à ses voisins, dans le cadre du budget fédéral. Ce budget doit encore être approuvé par Joe Biden, mais cela fait peu de doute.

06h55 : Pour la première fois depuis le début de l’invasion, des frappes aériennes ont touché Dnipro, la grande ville du centre du pays. Les services d’urgence ukrainiens recensent trois frappes, et affirment qu’elles ont fait un mort. Dnipro est la quatrième ville d’Ukraine, peuplée par près d’un million d’habitants.

06h18 : Sur le terrain, les troupes russes poursuivent leur encerclement de Kiev. Hier, les chars sont arrivés à quelques centaines de mètres du dernier barrage ukrainien à l’entrée nord-est de la capitale, ont observé les équipes de l’AFP. L’armée russe était déjà positionnée au nord et à l’ouest de la ville.

06h16 : Volodymyr Zelensky affirme par ailleurs que, ces deux derniers jours, 100 000 personnes ont pu évacuer les différentes villes d’Ukraine visées par l’offensive russe, dont 40 000 hier.

07h38 : Le ministère de la Défense russe n’exclut pas l’ouverture de couloirs allant “dans d’autres directions”, mais ils devront être “négociés avec la partie ukrainienne”. Hier soir, dans une vidéo, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé l’armée russe d’une nouvelle “attaque” de char sur un couloir humanitaire qui devait permettre, dit-il, d’acheminer des médicaments et des vivres au port assiégé de Marioupol.

06h11 : La question des couloirs humanitaires est toujours aussi centrale dans la guerre en Ukraine, y compris la guerre d’information et de propagande. Hier soir, la Russie a annoncé qu’elle ouvrirait désormais “unilatéralement”, tous les jours à 10 heures (heure d’Ukraine), des couloirs d’évacuation sécurisés. Mais ils mèneront les habitants en Russie, et non dans une zone plus sûre d’Ukraine. Une option que Kiev a déjà rejetée plusieurs fois ces derniers jours.

07h39 : Commençons par un point sur les infos les plus importantes de ces dernières heures :

Les dirigeants des Etats de l’UE sont toujours réunis à Versailles pour un sommet marqué par la crise ukrainienne. Au menu des débats : renforcer la défense commune, débattre des demandes d’adhésion de plusieurs pays dont l’Ukraine, ou encore réduire la dépendance au pétrole et au gaz russe.

#UKRAINE Alors que de nouveaux pourparlers n’ont rien donné, la guerre continue. Volodymyr Zelensky a une nouvelle fois accusé la Russie d’avoir attaqué un couloir humanitaire. Moscou, d’une part, et Washington et Kiev, de l’autre, s’accusent mutuellement de préparer l’utilisation d’armes chimiques et biologiques.

Deux ans après le début de la pandémie, les contaminations repartent à la hausse en France. Un nouveau protocole sanitaire, allégé, entrera en vigueur lundi dans les écoles, collèges et lycées. Voici ce qui va bientôt changer dans les établissements scolaires.


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