EN DIRECT – Retraites: copieusement hué en Alsace, Emmanuel Macron dit qu’il ne s’attendait pas “à autre chose”

Bain de foule de Macron: selon le ministre Roland Lescure, “cela fait partie de ce qu’il aime faire”

Le ministre délégué chargé de l’Industrie s’est exprimé sur BFMTV après le déplacement chahuté d’Emmanuel Macron à Sélestat dans le Bas-Rhin.

“Cela fait partie de ce qu’il aime faire”, a déclaré Roland Lescure sur notre antenne.

Selon lui, le président a un discours d'”apaisement”: sur le fond, il est “convaincu” et sur la forme, il sait qu’il peut “progresser”.

Emmanuel Macron de nouveau hué dans le Bas-Rhin

Après un premier bain de foule chahuté à Sélestat, Emmanuel Macron a de nouveau été hué à la sortie de cette mairie du Bas-Rhin.

Le président va désormais quitter la ville.

“Moi, j’ai un CDD jusqu’en 2027”: Emmanuel Macron renouvelle sa confiance en Élisabeth Borne

Interrogé sur l’avenir de la Première ministre, remise en cause après la séquence de la réforme des retraites, Emmanuel Macron lui a renouvelé sa confiance.

“Elle a ma confiance, sinon elle ne serait pas en charge de ma feuille de route”, a-t-il répondu au micro de BFMTV.

Il a d’ailleurs ajouté: “Moi, j’ai un CDD jusqu’en 2027.”

Emmanuel Macron estime que le 49.3 est “l’engagement le plus solennel”

“Le 49.3 est simple.” Une nouvelle fois interrogé sur le recours au 49.3 pour faire passer la réforme des retraites, le président a déclaré qu’il s’agissait de “l’engagement le plus solennel”.

“Le gouvernement engage sa responsabilité (…) et il y a un vote sur une motion de censure”, a-t-il expliqué.

La motion de censure transpartisane ayant été rejetée, “il n’y a pas de majorité alternative”, selon Emmanuel Macron.

Retraites: Emmanuel Macron “respecte” les “gens en colère” et veut “réengager un dialogue”

Chahuté lors de son déplacement dans le Bas-Rhin, Emmanuel Macron a reconnu que de nombreux Français étaient en “colère” contre la réforme des retraites.

“Les gens en colère, je les respecte, a-t-il annoncé cet après-midi. J’ai envie qu’ils se réengagent sur le dialogue. On peut convaincre encore des gens sur les retraites.

Plus d’informations ici.

“Il y a une colère qui est là”: Macron réagit aux huées en marge de sa visite en Alsace

Quelques minutes après un accueil chahuté à Sélestat en Alsace, Emmanuel Macron s’est exprimé au micro de BFMTV.

“Je ne m’attendais pas à autre chose. Il y a une colère qui est là”, a reconnu le président de la République.

Il a ajouté que cette colère ne l'”empêchera pas de continuer à se déplacer”.

“Apaisement, jour 3”: Mathilde Panot ironise après le bain de foule très tendu d’Emmanuel Macron

Le président avait promis une période “d’apaisement” lors de son allocution ce lundi soir. Il a été copieusement hué ce mercredi après-midi à Sélestat.

Réponse de la présidente des députés LFI Mathilde Panot sur le ton de la moquerie: “Apaisement, jour 3. Jamais tranquille”.

Retraites: les socialistes déposent une proposition de loi pour abroger la retraite à 64 ans

Le président des députés socialistes Boris Vallaud annonce que son groupe a déposé une proposition de loi devant le bureau de l’Assemblée nationale pour abroger la retraite à 64 ans.

Les groupes parlementaires qui le souhaitent peuvent s’emparer de ce texte pour l’inscrire dans leur niche parlementaire.

Macron conspué en Alsace: un porte-parole des députés macroniste salue “un président qui ne recule pas devant les contacts”

Le député Benjamin Haddad salue un “président qui ne recule pas devant le contact, devant les oppositions démagogiques, ou devant les réformes impopulaires”, après le bain de foule très houleux d’Emmanuel Macron .

“On le regrettera quand on aura des présidents qui dirigeront en fonction des sondages quand il faudra faire des choix difficiles”, avance encore le porte-parole du groupe Renaissance.

“Partout où il ira, nous serons là”: une députée écologiste salue “un peuple qui hurle son indignation” lors d’un bain de foule de Macron

“Partout où il ira, ils et elles seront là, nous serons là. Une coupure d’électricité en pleine visite, un député bâillonné, un peuple qui hurle son indignation”, écrit Sophie Taillé-Polian, députée Générations apparentée EELV sur son compte Twitter.

Emmanuel Macron a été conspué lors de son déplacement à Sélestat ce mercredi après-midi.

Bain de foule houleux d’Emmanuel Macron: un déplacement du ministre Christophe Béchu également perturbé

Emmanuel Macron n’est pas le seul à devoir affronter un bain de foule très agité dans le Bas-Rhin.

Le ministre de la Transition écologique a été accueilli par un concert de casseroles et des chants de Gilets jaunes au Mans pour un déplacement sur la prévention des feux de forêt.

La CGT revendique une coupure de courant lors de la visite de Macron en Alsace

La CGT a revendiqué une coupure de courant intervenue lors du déplacement du président Emmanuel Macron dans une usine en Alsace mercredi, sans toutefois plonger les lieux dans l’obscurité.

“Nous l’avions annoncé, les énergéticiens seront partout et il fera tout noir pour le président !”, a déclaré Fabrice Coudour, secrétaire fédéral FNME-CGT, dans un message adressé à l’AFP.

La coupure de courant a duré pendant toute la durée de la visite sans pour autant empêcher le président de continuer sa rencontre avec les salariés de l’entreprise, à qui il a pu s’adresser avec un micro.

Après un bain de foule de Macron très houleux, un député macroniste salue “son courage”

Emmanuel Macron a été accueilli par un bain de foule sous haute tension à Sélestat, entre huées, sifflets et chant de Gilets jaunes.

“Accueilli (aussi!) par des encouragements nombreux de Français qui reconnaissent le courage de faire d’Emmanuel Macron”, a twitté le député Renaissance Pieyre-Alexandre Anglade.

Hué par des manifestants, Macron dit que “ce n’est pas la première fois” qu’il “entend des gens râler contre lui”

“Ce n’est pas la première fois que j’entends des gens qui râlent contre moi”, tente de banaliser Emmanuel Macron, copieusement hué par des manifestants à Sélestat (Bas-Rhin).

Bain de foule du président: des manifestants crient “Macron démission”

Dans une ambiance très houleuse, Emmanuel Macron tente d’échanger avec des Français.

Des dizaines de manifestants crient “Macron démission”, après avoir chanté “On est là, on est là, même si Macron ne veut pas, nous on est là”.

Alsace: Macron copieusement hué par des manifestants

Emmanuel Macron vient d’arriver à Sélestat pour échanger avec des Français. Si des applaudissements se font entendre, les huées et de sifflets se font entendre.

Le chant des Gilets jaunes se fait également entendre.

Macron attaque les concerts de casseroles, Mélenchon lui répond qu’elles “sont la voix du peuple”

“Les casseroles sont la voix du peuple. Dans la rue et aux fenêtres”, a écrit sur son compte Twitter le fondateur de La France insoumise en réponse à Emmanuel Macron.

“C’est pas les casseroles qui feront avancer la France”, a jugé le  président lors de son déplacement en Alsace.

La police maintient à distance des manifestants, l’insoumis Antoine Léaument dénonce “un président qui se barricade même à l’extérieur”

Des manifestants qui ont fait un concert de casseroles ont été tenus à distance de la première visite d’Emmanuel Macron depuis la promulgation de la réforme des retraites.

“Voilà sa ‘rencontre avec les Français’. Un président inaccessible et qui se barricade même à l’extérieur”, avance le député LFI Antoine Léaument, un intime de Jean-Luc Mélenchon sur son compte Twitter.

“Pas les casseroles qui feront avancer la France”: l’écologiste Sandra Regol dénonce le “mépris et la déconnexion” d’Emmanuel Macron

“C’est pas les casseroles qui feront avancer la France”, a jugé le président lors de son déplacement dans une usine à Muttersholtz, près de Sélestat dans le Bas-Rhin.

“Non. Mais le fait de ne pas les écouter la fait indubitablement s’abîmer. Comme d’habitude, mépris et déconnexion”, lui répond sur Twitter la députée écologiste Sandra Regol.

Emmanuel Macron assure qu’Élisabeth Borne a sa confiance

Interrogé sur Élisabeth Borne et la confiance que le président a ou non en elle, Emmanuel Macron a répondu “elle à la mienne en tout cas”.

Mais le président a botté en touche sur son avenir à Matignon après le 14 juillet.

Emmanuel Macron indique avoir “du respect” et “l’amitié” pour Laurent Berger

Interrogé sur sa relation avec le numéro de la CFDT, Emmanuel Macron a assuré avoir du “respect” et de “l’amitié” pour Laurent Berger.

Le syndicat réformiste continue de s’opposer farouchement à la retraite à 64 ans.

On vous explique tout de cette relation ici.

Concert de casseroles: Macron “ne croit pas” que les opposants “cherchent à parler”

Interrogé sur le concert de casseroles qui a “accueilli” son arrivée dans le village alsacien de Muttersholtz, Emmanuel Macron a donné son analyse.

“Je crois pas qu’ils cherchent à parler, ils cherchent à faire du bruit. Ils assument de faire du bruit pour couvrir la parole, on s’en sort pas. On peut convaincre que les gens qui veulent écouter”, a avancé le président.

Pour Macron, “ce n’est pas des casseroles qui feront avancer la France”

“C’est pas les casseroles qui feront avancer la France”, juge le président lors de son déplacement dans une usine à Muttersholtz, près de Sélestat dans le Bas-Rhin.

Emmanuel Macron a été accueilli par un concert de casseroles, après des appels dans toute la France à faire retentir des ustensiles de cuisine pendant son allocution ce lundi soir.

Pour Laurent Berger, Emmanuel Macron “s’est essuyé les pieds sur les travailleurs et les travailleuses”

Alors qu’à son départ Philippe Martinez avait déclaré avoir le sentiment qu’Emmanuel Macron avait “marché sur les syndicats”, Laurent Berger juge que non:

“Je ne crois pas qu’il a marché sur les syndicats, parce qu’on s’est élevé très haut. On a levé la tête et on a répondu”.

“En revanche, je crois, malheureusement, que le président de la République s’est essuyé les pieds sur les travailleurs et les travailleuses”

“C’est à eux qu’on s’est mal adressé. Et c’est ce ressentiment-là, face au mépris qui a été exprimé, qui m’inquiète. J’espère que ça n’engendrera pas une colère démocratique qui tournera du mauvais côté”.

Laurent Berger: “un partenaire, sérieux, exigeant, parfois coriace”, salue Olivier Véran

“Je salue l’action de la CFDT, de Laurent Berger à sa tête”, a réagi Olivier Véran, porte-parole du gouvernement, à la sortie du conseil des ministres

“Cela aura été un partenaire, sérieux, exigeant, parfois coriace et avec lequel nous avons pu obtenir des avancées importantes pour notre pays en matière de droits sociaux et d’évolutions au travail”, a poursuivu le ministre, qui a notamment souligné la “qualité du dialogue” sur le dernier accord sur le partage de la valeur.

Laurent Berger: “Le combat n’est pas fini”

Sur le départ, mais toujours combatif. Pour Laurent Berger, secrétaire général jusqu’au 21 juin “le combat n’est pas fini”

“Il y a le 1er-Mai, la deuxième demande de référendum d’initiative partagée – sur laquelle le Conseil constitutionnel doit se prononcer le 3 mai. Nous verrons aussi s’il faut contester devant le juge administratif des décrets d’application. Et nous serons vigilants sur la mise en œuvre des mesures, qui s’annonce compliquée sur un plan concret pour les personnes qui liquideront leur pension à partir de l’automne, en vertu des nouvelles règles”.

Laurent Berger: “Le gouvernement a perdu le fil avec le monde du travail”

Pour Laurent Berger “tout le monde est perdant”, d’abord “les travailleurs et les travailleuses, qui vont devoir travailler deux ans de plus, avec une loi encore plus déséquilibrée”, mais aussi le “gouvernement, qui a perdu le fil avec la réalité du travail et le monde du travail, qui n’est capable d’en parler que de façon théorique”.

“Un rendez-vous manqué”, note le bientôt ex patron de la CFDT “à cause de l’exécutif, de sa volonté d’imposer une mesure paramétrique absurde, sans parler du travail”.

La promulgation de la réforme des retraites n’est “pas une défaite du syndicalisme” justifie Laurent Berger

Pour Laurent Berger, la promulgation de la réforme des retraites n’est pas une défaite du syndicalisme.

“La défaite du syndicalisme, c’est quand on n’a pas fait ce que l’on aurait dû faire. Le pire aurait été que cette réforme passe sans encombre, comme si elle ne soulevait aucun problème”, explique-t-il dans un entretien au Monde.

“Depuis trois mois, les travailleurs et les travailleuses ont exprimé une forme de dignité et j’espère qu’ils agiront encore ainsi, le 1er-Mai, en descendant dans la rue de façon massive”.

“Ni un coup de tête ni un choix dicté par l’actualité”: Laurent Berger quitte la tête de la CFDT

Dans un entretien au Monde, Laurent Berger le secrétaire général du premier syndicat de France, annonce qu’il laissera la place libre le 21 juin.

Il proposera au bureau du syndicat le nom de Marylise Léon, actuel numéro 2 pour lui succéder.

“Ce n’est ni un coup de tête ni un choix dicté par l’actualité. Je souhaite tout simplement respecter des règles collectives et une forme d’éthique personnelle, liées au fonctionnement démocratique de la CFDT”, explique Laurent Berger.

A la tête de la CFDT depuis 10 ans et demi “une durée proche de celle des mandats de mes prédécesseurs, François Chérèque et Nicole Notat”, justifie-t-il.

Des manifestants dans un hypermarché de La Défense

Des dizaines de manifestants se sont rassemblés dans l’hypermarché Auchan du centre commercial Les 4 Temps à la Défense (Hauts-de-Seine) ce mercredi matin. 

“On est là, même si Macron le veut pas nous on est là”, ont chanté les manifestants. 

La manifestation était organisée par la CGT Commerce et Services. 

Pour Sandrine Rousseau, il faut “déviriliser la politique”

Sur franceinfo, Sandrine Rousseau estime qu’il y a besoin de “déviriliser la politique”. “Il faut sortir de la figure des chefs autoritaires qui imposent et qui sortent conquérants des conflits sociaux”, affirme-t-elle.

La députée EELV accuse Emmanuel Macron de manquer d’humilité, de tenir “un seul type de discours qui consiste à dire j’ai raison” et de faire de la réforme des retraites “une affaire personnelle”.

“Il y a des codes du pouvoir encore très empreint de chefs de guerre et d’un monde qui s’effondre”, poursuit-elle.

Sandrine Rousseau déplore également le fait qu’Emmanuel Macron n’ait pas mentionné Élisabeth Borne durant son allocution. “On dirait qu’elle n’existe pas”.

Selon Buisson, “on a assisté à un jeu de rôles” entre “le pouvoir et l’intersyndicale”

“On a assisté à un jeu de rôles, un théâtre d’ombre, dans lequel il y a une complicité objective entre le pouvoir et l’intersyndicale”, estime Patrick Buisson, concernant la réforme des retraites.

“L’objectif commun, c’était d’enterrer le mouvement des gilets jaunes”, estime l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, évoquant une “protestation incontrôlable qui a donné tant de sueurs froides à la fois à l’exécutif et aux syndicats puisqu’ils sortaient des canons ordinaires de la revendication sociale”.

Pour lui, les syndicats “ont retrouvé du lustre” tandis que “le pouvoir a pu jouer sur la fermeté, attirer à lui le parti de l’ordre (Les Républcains, ndlr)”.

Pour Buisson, “il faudra recommencer par une autre réformette dans 4 ou 5 ans”

Que pense Patrick Buisson de la réforme des retraites? “On sait qu’il faudra recommencer par une autre réformette dans 4 ou 5 ans”, dit l’intéressé sur BFMTV-RMC.

Pour l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron avait l’occasion de “relancer une grande politique familliale”.

“Par exemple de revenir sur les décisions de François Hollande, qui mis fin à l’universalité des allocations familliales, qui a plafonné le quotien famillial. Il ne le fait pas”, déplore l’essayiste.

Et d’asséner: “les années de retraites perdues, ce sont les enfants que nous avons pas eu”. Soit un positionnement repris par la droite au Sénat et l’extrême droite.

Pour Patrick Buisson ,”Emmanuel Macron est un grand mystère qui n’est pas près d’être dissipé”

Invité de BFMTV-RMC, Patrick Buisson estime qu'”Emmanuel Macron est un grand mystère qui n’est pas près d’être dissipé”.

“On n’a pas suffisament été attentifs à ce qui s’est passé lors de l’élection de l’élection présidentielle. Emmanuel Macron a été réélu avec un électorat qui s’est considérablement droitisé”, dit l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy.

Il voit une incohérence dans le gouvernement de Macron, lequel a sorti des personnalités de droite de son premier quinquennat comme “Jean-Michel Blanquer” ou “Jean Castex”, pour les remplacer “par des marqueurs de gauche”.

“Et il s’etonne aujourd’hui d’être dans une impasse? extraordinaire!”, fustige-t-il.

Chenu ironise sur les déplacements de Macron: “Il ne va pas être accueilli avec des bouquets de fleurs”

Emmanuel Macron est de retour sur le terrain. Le président de la République se rend ce mercredi en Alsace, avant un autre déplacement dans l’Hérault le lendemain. Une façon pour lui de montrer qu’il est au contact des Français et pas emêché par sa très impopulaire réforme des retraites.

Pour Sébastien Chenu, interrogé par Public Sénat, le chef de l’État “doit se rendre à l’évidence: les Français ne peuvent plus le voir en peinture”.

Lors de ses déplacements, ce dernier “ne va pas être accueilli par des bouquets de fleurs”, ironise le député du Rassemblement national.

“La politique qu’il mène est contre le peuple français, il impose des lois, dont les Français, ultra majoritairement, ne veulent pas”, ajoute celui qui est également l’un des six vice-présidents de l’Assemblée nationale.

Le groupe Liot va présenter un projet de loi pour abroger la réforme des retraites lors de sa niche parlementaire

Bien que promulguée depuis 4 jours, la réforme des retraites suscite toujours des contestations. Motion de censure, seconde demande de référendum d’initiative partagée (RIP), mobilisation du 1er mai: les initiatives pour contrer la mise en place effective de la loi sont nombreuses.

La dernière en date est annoncée par Betrand Pancher, patron du groupe Libertés indépendants, outre-mer et territoires (Liot), dans les colonnes du Parisien:

“Notre groupe va déposer une proposition de loi pour abroger la réforme des retraites”, indique le parlementaire de la Meuse.

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Emmanuel Macron filmé après son allocution en train de chanter dans les rues de Paris

Une prise de parole devant des millions de Français, suivie d’un chant entonné dans les rues de la capitale. Le président de la République Emmanuel Macron a été aperçu lundi soir dans les rues de Paris en train de chanter une chanson aux côtés d’un groupe de jeunes, a appris BFMTV auprès de l’entourage du chef de l’État, confirmant une information du HuffPost.

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Emmanuel Macron en déplacement dans le Bas-Rhin

Emmanuel Macron veut reprendre un contact direct avec les Français après trois mois de crise des retraites, et il se rend ce mercredi en Alsace pour célébrer les efforts de réindustrialisation de son gouvernement. Mais une fois de plus, il devrait être accueilli par des manifestants hostiles.

Au surlendemain de son allocution télévisée destinée à enclencher une nouvelle phase de son quinquennat, le président se déplace dans le Bas-Rhin, pour la visite d’une usine dans la petite ville de Muttersholtz. Puis il se rendra jeudi dans l’Hérault pour parler d’éducation.

L’intersyndicale a d’ores et déjà appelé dans un communiqué à un rassemblement à midi dans la localité alsacienne et demandé aux manifestants de se munir de casseroles ou de couvercles pour “mieux se faire entendre” et montrer que “la page retraites est loin d’être tournée”.

Bonjour à toutes et à tous!

Bienvenue dans ce live consacré à la réforme des retraites, promulguée dans la nuit de vendredi à samedi, mais toujours fermement combattue par les oppositions et les syndicats.

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