Perrine Laffont qualifiée pour la finale des bosses

Place à Ben Cavet !

Le premier skieur français va s’élancer. Pour l’instant le niveau des premiers concurrents est déjà assez relevé. Il n’aura pas le droit à l’erreur.

Les qualifications hommes des bosses commencent

Après la belle qualification de Perrine Laffont pour la finale 1, les deux Français engagés dans l’épreuve masculine vont tenter d’en faire autant.

Vice-champion du monde en titre en 2021, Benjamin Cavet partira sixième et voudra prendre sa revanche sur les JO 2018 où il s’était contenté d’une 25e place. Malheureusement, son début de saison est en-dessous de ses standards habituels.

Le second tricolore à s’élancer, sacha Theocharis partira en 17e position. Champion olympique en titre, le Canadien Mikael Kingsbury s’élanceraen 24e position.

Biathlon: Johannes Boe possible cas contact

Le Norvégien Johannes Boe qui tentera de défendre son titre Olympique de l’Individuel à Pékin se retrouve ce jeudi dans une situation inconfortable. La star du biathlon mondial, triple vainqueur du classement général de la coupe du monde se retrouve “probable cas contact” à la suite d’un cas positif dans l’avion qui l’a conduit vers la Chine. Une précaution prise par l’équipe Norvégienne en attendant le résultat du deuxième test de la personne positive dont l’identité n’a pas été révélée.

Johannes Boe est donc placé à l’isolement en attendant dans une chambre seul, il prend ses repas seul et se déplace dans un véhicule dédié. Mais il peut s’entraîner normalement. Il a été aperçu à l’entraînement ce jour avec le sourire et a lancé aux journalistes norvégiens que tout allait bien. Il était absent ce jeudi de la conférence de presse des Norvégiens organisée au village Olympique. Sa coéquipière Ingrid Tandrevold est dans la même situation. Le Norvégien pourrait rapidement retrouver sa “liberté” puisque le résultat du deuxième test de la personne positive est attendu dans la soirée à Pékin.

Julien Richard à Pékin

Mobilisation autour des inégalités hommes-femmes dans le saut à ski

Avant même le début des épreuves, les membres de l’équipe de France féminine de saut à ski ont pris position pour critiquer les inégalités hommes-femmes dans leur discipline. Si les garçons pourront viser quatre médailles à Pékin (dont une par équipe mixte), les filles n’ont qu’une seule épreuve individuelle au programme (en plus l’épreuve mixte)

En raison de la non-qualification des sauteurs français, Joséphine Pagnier et Julia Clair n’auront donc qu’une seule occasion, sur petit tremplin, de viser le podium olympique en Chine.

Le run de Perrine Laffont en vidéo

Deuxième des qualifications, Perrine Laffont a signé un superbe passage ce jeudi à Pékin. La Française défendra son titre lors de la finale prévue dimanche avant une éventuelle super finale. En attendant, voici les images de son premier run aux JO 2022.

Laffont qualifiée sans trembler, Cabrol garde espoir

Deuxième à l’issue des qualifications, Perrine Laffont défendra bien son titre lors de la finale des bosses puis lors de la super finale. Rendez-vous.

L’autre skieuse française engagée dans cette épreuve, Camille Cabrol, a terminé à la 20e place et devra passer la seconde manche des qualifications prévue dimanche à 11h.

Laffont qualifiée pour la finale des bosses

La Française de 23 sort un run propre et un temps canon. Avec 81.11pts.

Perrine Laffont est deuxième du classement et se qualifie sans problème pour la finale.

Place à Perrine Laffont !

C’est maintenant au tour de Perrine Laffont. La Française rêve d’un fabuleux doublé doré après son titre acquis en 2018. Allez !

Jakara Anthony marque les esprits

Troisième du classement de la Coupe du monde, l’Australienne Jakara Anthony réalise un superbe run et en termine avec 83.75 pts soir plus de quatre longueurs d’avance sur sa première poursuivante. C’est pour l’instant la seule skieuse à avoir franchi le cap des 80pts.

Encore dix concurrentes avant le passage de Perrine Laffont

La championne olympique française va bientôt arriver dans le portillon de départ. Voilà la piste qu’elle va devoir avaler.

Justine Dufour-Lapointe vise une troisième médaille à Pékin

Championne olympique à Sotchi et médaillée d’argent en 2018 derrière Perrine Laffont, la Canadienne Justine Dufour-Lapointe rêve d’une troisième médaille olympique à Pékin. A 27 ans, elle possède une belle expérience mais peine un physiquement sur le final et en termine avec un score de 71.45pts.

Elle est encore dans le top 10 mais cela risque d’être un peu juste pour la Canadienne.

Le run de Camille Cabrol en vidéo

La première française du jour est éjectée hors du top 10 avec son score de 62.97. Camille Cabrol devra donc passer par la seconde séance de qualifications dimanche pour espérer dérocher son billet pour la finale.

Comment se qualifier pour la finale des bosses

On le rappelle, il faudra finir parmi les dix meilleurs athlètes pour être qualifié directement pour la finale alors que les autres concurrents devront prendre part à une deuxième qualification prévue dimanche.

Ce jeudi à Pékin, les juges ont l’air très exigeants sur les sauts et les notes techniques.

La principale rivale de Perrine Laffont enlice

La Japonaise Anri Kawamura, leader de la Coupe du monde à seulmeement 17 ans et 112 jours, signe un très beau run de qualifications. La Nipponne est deuxième avec 76.36pts derrière l’Américaine Olivia Giaccio (78.11pts).

Petite déception pour Camille Cabrol

Techniquement, la Française n’a pas fait de grosse erreur et a signé un run propre mais pas parfait. Son temps (30”61) la pénalise peu et elle en termine avec un score de 62.97 à bonne distance du maître étalon russe Anastasiia Smirnova (73.01).

Place à la Française Camille Cabrol

Ce sont les deuxièmes JO pour la skieuse tricolore de 24 ans qui a fait appel à la générosité des supporters pour financer son voyage à Pékin.

Bosses: Perrine Laffont en piste pour la qualification

C’est parti pour la championne olympique en titre Perrine Laffont, qui s’aligne ce jeudi sur les qualifications des bosses. La première française, Camille Cabrol, part avec le dossard 2, Laffont avec le 29.

Une descente “plus facile” que prévu pour Clarey

Après le premier entraînement officiel de la descente ce jeudi matin sur la piste de Yanqing, Johan Clarey a livré ses impressions sur ce site qui accueillera l’épreuve reine masculine dimanche matin.

“Plus facile que ce que je pensais. Je pensais qu’il y aurait plus de vitesse, mais c’est plutôt agréable elle est toute au soleil c’est pas souvent qu’on a ça en Coupe du monde, mais elle est plutôt intéressante, j’ai trouvé ça fun, j’ai pris des bons repères je suis content. Le haut, c’est beaucoup de mouvement de terrain pas beaucoup de vitesse. Il faudra être très précis et avoir un peu de chance parce que le vent peut jouer et faire des grosses différences. Après le bas ça s’accélère un peu, et il y a ce mur que je pensais un plus difficile un peu dans l’ombre, et il est plutôt facile à skier. Ca va être très serré je pense, mais bon les meilleurs seront devant je vous rassure quand même.” (AS)

Biathlon; la grosse déception de Bescond, absente du relais mixte

Anaïs Bescond – championne olympique en 2018 en relais mixte – ne digère pas son absence de la composition pour la course samedi.

“Enormément de déception, confie-t-elle. Je m’étais fixée un très gros objectif sur ce relais mixte, d’en faire partie et de performer dedans. De défendre mon titre olympique. Je ne vais pas vous le cacher c’est une énorme déception et ça a été très dur à entendre. Et encore plus avec les raisons invoquées car pour moi ce ne sont pas forcément des bonnes raisons… Mais forcément vu que je voulais que ce soit moi dedans, donc je n’étais pas objective.

Mais j’ai relativisé en me disant que l’important c’est qu’on ait la plus belle équipe possible, et d’après les entraîneurs c’est celle-ci. Ce qui est sur c’est que je vais les supporter à fond devant ma télé parce que c’est un format que j’aime énormément.

Entre la stabilité au tir et l’expérience des grands évènements il me semble que j’ai déjà prouvé ma valeur. Après j’ai transformé leurs propos en me disant que “Chev” (surnom d’Anaïs Chevalier, ndlr) et Julia (Simon) ce sont celles qui ont le plus de podiums cette saison donc c’est normal que ce soient elles qui le fassent. Parce que je préfère entendre ça dans ma tête plutôt que de me dire que je suis incapable de tirer dans le vent parce que c’est ce que j’ai entendu. Quand ils ont dit on met les filles les plus stables au tir alors que c’est moi qui ait les meilleures stats de tir cet hiver, je ne comprends pas. Honnêtement. Donc je préfère me dire autre chose que ce que j’ai entendu ce jour-là.”

C’est normal qu’il y ait des déceptions, et ce n’est pas pour autant que je ne vais pas les supporters. Il n’y a pas de problème!”

Biathlon: les Bleus avec la grosse équipe pour le relais mixte

Stéphane Bouthiaux a annoncé la composition du relais mixte de biathlon, première épreuve des jeux Olympiques samedi 5 février à 10h. Les Bleus qui alignent une grosse équipe avec dans l’ordre :

Anaïs Chavalier-Bouchet, Julia Simon, Emilien Jacquelin et Quentin Fillon-Maillet.

Si le choix s’imposait chez les garçons, avec Fillon-Maillet et Jacquelin respectivement leader et deuxième du classement général de la coupe du monde, chez les filles le choix a été beaucoup plus compliqué pour le staff tricolore et a été dicté par les conditions de tir que rencontreront les biathlètes avec beaucoup de vent. “Compte tenu des conditions extrêmes de tir ici, il était préférable de mettre des filles qui donnent le plus de garanties au tir, indique Stéphane Bouthiaux le patron du biathlon français. Ce sont les filles qui ont les meilleures statistiques de tir sur les relais”

Les Français sont détenteurs du titre olympique. Mais aucun rescapé de Pyeongchang ne sera au départ samedi (Fourcade, Desthieux, Bescond, Dorin). “On vise clairement au minimum une médaille voir même la médaille d’or, indique Bouthiaux. Mais vues les conditions, difficile de faire des pronostics car cela peut rendre la course aléatoire.”

Stéphane Bouthiaux a également indiqué que les quatre premiers français  du classement général de la coupe du monde disputeraient les quatres épreuves individuelles, chez les hommes et chez les femmes :

Quentin Fillon-Maillet, Emilien Jacquelin, Simon Desthieux, Fabien Claude (Antonin Guigonnat et Eric Perrot remplaçants)

Anaïs Chavalier-Bouchet, Justine Braisaz-Bouchet, Anaïs Bescond, Julia Simon (Chloé Chevalier et Paula Botet remplaçantes. (JRi)

Jackie Chan porte la flamme sur la Grande Muraille

Sous un soleil hivernal franc mais des températures glaciales, la flamme est arrivée jeudi matin à Badaling, une des sections de la Grande Muraille les plus proches de Pékin (75 km). L’acteur de kungfu hongkongais Jackie Chan, qui avait déjà participé au relais en 2008 lors des JO d’été de Pékin, a de nouveau soulevé la torche.

“Je suis très fier de porter la flamme une seconde fois”, a indiqué la star du cinéma, évoquant un “sentiment différent” cette fois. La flamme permet d’apporter “au monde l’amour et la paix” et le relais offre l’opportunité que “plus de gens découvrent la culture chinoise grâce à la Grande Muraille”, a noté Jackie Chan.

Les Français en lice ce jeudi :

Les Jeux olympiques de Pékin vont démarrer ce jeudi pour les spécialistes français du freestyle :

>> ski de bosses femmes, qualifications, avec Camille Cabrol et Perrine Laffont (11h, heure française)

>> ski de bosses hommes, qualifications, avec Benjamin Cavet et Sacha Theocharis (12h45, heure française)

Les épreuves ont commencé ce mercredi

Le curling a lancé ce mercredi les compétitions sportives aux Jeux olympiques de Pékin (4-20 février), deux jours avant la cérémonie d’ouverture et après des semaines marquées par les inquiétudes concernant le Covid-19 et les tensions politiques liées aux boycotts diplomatiques. L’histoire retiendra que les Etats-Unis ont été les premiers vainqueurs de cette quinzaine olympique en dominant l’Australie (6-5) lors du tour préliminaire du tournoi de double mixte.

Plus tôt dans la journée, la flamme olympique avait fait son entrée dans la capitale chinoise, première ville de l’histoire à accueillir les JO d’été (2008) et d’hiver.

(AFP)

Pinturault a appelé Riner avant de venir à Pékin

Arrivé lundi au village olympique de Yanqing, Alexis Pinturault a enfin pu sortir les skis pour tâter la neige chinoise. Le meilleur skieur français, qui s’alignera sur quatre disciplines en individuel lors de ces JO 2022, a livré ses premières impressions et même confirmé une petite indiscrétion à RMC Sport: il a demandé conseil à Teddy Riner avant de venir en Chine.

Richardson Viano, premier Haïtien aux JO d’hiver, veut rendre fière “une patrie qui morfle”

Sur les 91 nations représentées lors des Jeux olympiques d’hiver de Pékin 2022, Haïti le sera pour la toute première fois de son histoire. La perle des Antilles sera unie comme un seul Homme derrière son unique athlète, le jeune skieur alpin Richardson Viano. Un gamin arraché de la misère d’un orphelinat à l’âge de 3 ans, adopté par un couple d’Italiens installé à Briançon dans les Hautes-Alpes.

Son histoire est à découvrir ici.

Ski: Clarey pense à tout arrêter

Lors d’une interview accordée à RMC Sport au village olympique de Yanqing en Chine, Johan Clarey, 41 ans, meilleur descendeur français et récent deuxième à Kitzbuhel, s’est confié sur la suite de sa carrière. Ses derniers JO il en est sûr et peut être même sa dernière saison au haut niveau.

“C’est une possibilité que je m’arrête en fin d’hiver. J’ai pas encore pris ma décision, on verra bien après les jeux comment je me sens mais il y a des choses qui me pèsent un petit peu maintenant donc il va falloir que je prenne les bonnes décisions, ne pas faire la saison de trop. Ce qui me pèse? Le stress notamment. On fait une discipline où on joue un peu avec notre santé, il y a du danger les jours de courses, et aller prendre des risques tout le temps, ça me pèse et c’est difficile. C’est venu petit à petit et ce n’est pas toujours là. En début de saison, c’était toujours là, je ne pensais qu’à ne pas me blesser, j’avais un peu d’appréhension. Je suis passé un peu outre avec du travail mental, mais mon esprit et mon corps commencent à faire une overdose de stress.”

Arnaud Souque, à Yanqing

Short-track : premier athlète positif, Lepape peut enfin s’entraîner

Premier athlète de la delegation française positif au Covid à son arrivée en Chine, Sébastien Lepape a retrouvé une vie normale d’athlète. Deux tests verts avant de partir, mais le 27 janvier, à l’aéroport Capital de Pékin, Sébastien Lepape a vu du rouge s’afficher sur son test PCR. Le Français a gardé l’isolement, ne pouvant s’entraîner qu’à part, grâce à des transports dédiés. D’abord sur une glace différente de la glace de compétition puis sur l’arène des JO grâce à une série de tests négatifs : “C’est une mésaventure qui fait partie du jeu, on le savait, relate le spécialiste du 1500m. J’ai suivi le protocole qui m’a été indiqué. J’essaye de ne pas trop réfléchir à ce qu’il y autour. J’ai fait ce qu’on m’a demandé.” Lepape a reconnu qu’il était content de pouvoir s’entraîner. Dans le groupe des quatre short-trackeurs tricolores, son histoire n’a pas alimenté le stress, selon Tifany Huot-Marchand : “On est un groupe, on est tous ensemble. Seb a le moral. On n’a pas parlé de ça. On est resté concentré sur la performance.” Les épreuves de short-track débutent dès samedi avec le 1000m masculin, le 500m féminin ainsi que le relais mixte.

M.M. à Pékin

Le bobeur Dorian Hauterville positif au Covid-19

Surprise ce matin au centre de glisse de Yanqing, lorsque Romain Heinrich sort du bob à deux, après le premier entraînement de la quinzaine. Le pilote français n’est pas accompagné par son acolyte Dorian Hauterville. C’est Lionel Lefebvre qui fait office de pousseur pour l’occasion. Comme le patineur Sébastien Lepape, Hauterville a été contrôlé positif au Covid à son arrivée à Pékin : “On est arrivé hier matin, on a eu une journée très chargée avec notamment la préparation du matériel et Dorian a eu un contrôle positif à l’aéroport. Il a été malade au moins de janvier, alors on pense que c’est un résidu. On est un peu en train de voir comment organiser l’équipe. On n’en a pas fini avec le stress”, avoue Heinrich.

Hauterville a été placé à l’isolement. S’il présente deux tests négatifs consécutifs, il pourra sortir et retrouver le fil normal de ces JO. Le test du jour a été négatif: “Chaque entraînement ensemble est important. Avec un deuxième test négatif il pourrait  retrouver le groupe dès demain. Ca pourrait être bon.” Demain matin, un autre entraînement général est programmé. Cette piste de Yanqing est hyper technique et chaque gamme permet de progresser. La journée de jeudi pourrait signifier la fin du stress pour les bobeurs français. 

M.M. à Yanqing

Le calendrier des épreuves, avec des multiples chances de médailles pour la France

Les temps forts de cette quinzaine olympique seront comme à chaque fois le ski alpin, avec la descente hommes dès dimanche et la descente femmes le jeudi 15, mais également le patinage artistique, avec les danseurs Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron, ainsi que le Japonais Yuzuru Hanyu qui vise un rarissime triplé.

Les épreuves de ski freestyle et de snowboard s’annoncent très spectaculaires, avec la présence de la légende Shaun White, qui dispute à 35 ans ses 5es JO, et compte trois titres en half pipe.

Le clan français comptera aussi sur le biathlon, attendu comme l’un des principaux pourvoyeurs de médailles, avec Quentin-Fillon-Maillet et Emilien Jacquelin qui dominent la saison de Coupe du monde, ou encore Julia Simon et Justine Braisaz-Bouchet.

Jeudi, le hockey sur glace et le ski de bosses débuteront à leur tour, avec notamment les premiers sauts de Perrine Laffont, championne olympique 2018 et à nouveau favorite pour le titre cette année. Le calendrier complet des épreuves est à retrouver sur notre site.

Comment vont s’articuler les festivités

Les épreuves sont organisées autour de trois zones distinctes. A Pékin, auront lieu les sports de glace, qui se déroulent principalement sur les sites recyclés des JO 2008, et le big air, organisé sur une impressionnante plateforme de 60 m de haut sur les ruines d’une ancienne aciérie.

La station de Zhangjiakou, à 180 km au nord-ouest de Pékin, reçoit les épreuves nordiques, le biathlon, le snowboard et le ski freestyle, à l’exception du big air, et enfin la ville de Yanqing, à 75 km au nord-ouest de Pékin, est le théâtre des épreuves de ski alpin et de luge, skeleton et bobsleigh.

Le curling lance ses premières pierres

A Pékin, première ville de l’histoire à accueillir les JO d’été (2008) et d’hiver, le curling lance la quinzaine sportive, à l’issue de laquelle 109 titres olympiques seront décernés dans les 15 disciplines au programme, regroupant près de 3.000 sportifs.

A 20h05 locales (13h05 heure Paris), les premières pierres seront lancées dans le magnifique “Ice Cube”, l’ancienne piscine olympique de 2008, avec quatre matches du tournoi de double mixte (Suède – Grande-Bretagne, Australie – Etats-Unis, Norvège-République tchèque et Chine-Suisse).

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