Retrouvez ici l’intégralité de notre live #ELYSEE2022
23h04 : Ajoutons que le dernier budget de l’Assemblée nationale estime à “680 milliards” d’euros la dette sur l’ensemble sur quinquennat d’Emmanuel Macron. Une partie de ce chiffre s’explique par la crise sanitaire sans précédent qui a frappé le monde. La “dette Covid” s’élève à 165 milliards d’euros, relève la Cour des comptes dans son dernier rapport public annuel (PDF).
23h04 : La dette est passée de 2 231,7 milliards d’euros à la fin du deuxième trimestre 2021, qui correspond au début du quinquennat d’Emmanuel Macron, à 2 834,3 milliards d’euros à la fin du troisième trimestre 2021, selon les dernières données disponibles de l’Insee. Soit 602,6 milliards d’euros de plus.
23h04 : Marine Le Pen a taclé le président sur sa gestion des finances publiques. “Le bilan Macron sur le plan budgétaire, 600 milliards de dettes supplémentaires en un quinquennat”, a-t-elle lancé. Le chiffre qu’elle avance est vrai.
23h03 : Les émissions intérieures ont diminué de 30% entre 1995 et 2018 (4,8 tonnes équivalent CO2 par habitant en 2018) et les émissions importées (pétrole, automobile, électronique…) ont augmenté de 78% (6,4 tonnes équivalent CO2). Marine Le Pen recommande “de changer le système économique mondial avec du localisme et de l’économie circulaire”. A demande constante, et en reportant une partie de la production en France, il faudrait toutefois reporter une partie des émissions importées dans les émissions intérieures.
23h03 :
“L’empreinte carbone de la France, c’est 50% de nos importations”, a déclaré Marine Le Pen. Elle voulait sans doute dire : “50% d’importations”, en référence aux effets induits par la consommation sur le climat. Le chiffre évoqué par la candidate RN apparaît bien dans un rapport du Commissariat général au développement durable de janvier 2020 : les émissions importées représentent plus de la moitié de l’empreinte carbone de la France (57% en 2018).
23h01 : “Je ne comprends pas en réalité, les raisons de ce revirement. Ça, c’est sur le plan politique. Sur le plan personnel, vous savez très bien que affectivement, ça me touche. Voilà que ça me blesse. Je l’ai dit, je crois que j’aurais du mal à le cacher.”
Marine Le Pen revient sur le ralliement de Marion Mérachal à Eric Zemmour. “Bon, il y a un mois, elle a dit qu’elle soutiendrait le mieux placé entre Eric Zemmour et moi même. Il se trouve que je suis très largement la mieux placée pour gagner face à Emmanuel Macron. “
22h56 : “Oui, j’irai. Malgré ce que je pense du Qatar, avec qui on fait preuve bien souvent de complaisance. Mais je ne veux pas justement mélanger comme tout à l’heure le sport et la politique.”
Marine Le Pen assistera à la cérémonie d’ouverture au Qatar, si elle est élue présidente.
23h03 : En plus de “remettre au cœur des programmes l’enseignement du français, des mathématiques et de l’histoire”, Marine Le Pen fait une proposition moins connue sur la thématique de l’éducation. La candidate du RN promet en effet de “revaloriser les salaires des enseignants et refonder leur formation”. Autre sujet au coeur de sa campagne : “la suppression de la bureaucratie de l’Education nationale pour libérer des moyens financiers, réduire les effectifs des classes et arrêter les fermetures d’écoles”.
22h54 : “Les enfants en France arrivent en sixème avec un taux d’échec en matière de maîtrise de l’écriture qui est catastrophique. C’est vrai que les mathématiques sont une véritable catastrophe également. C’est donc qu’il y a quelque chose qui ne fonctionne pas. Je pense sérieusement qu’il faut augmenter le nombre d’heures, quitte à les porter à 80 ou à 85% si c’est nécessaire, parce qu’il est absolument urgent de redresser le niveau pour permettre aux jeunes de faire ce qu’ils souhaitent faire après.”
22h54 : Dont acte. Mais Marine Le Pen oublie la suite. Cette tendance s’explique par deux raisons, explique le COR, qui agiront comme des freins au vieillissement de la population : l’augmentation de l’âge de départ à la retraite (de 62,2 ans en 2019 à un peu moins de 64 ans vers 2040, si la loi n’est pas modifiée), les réformes passées et le recul de l’âge d’entrée dans la vie active. Mais également une baisse des pensions moyennes par rapport aux revenus d’activité (31%-36%, contre 50% actuellement). Des conditions plus dures, donc.
22h50 :
“Le pourcentage [du système de] retraites par rapport au PIB est soutenable”, a déclaré Marine Le Pen, en se référant au Conseil d’orientation des retraites (COR), et en critiquant l’idée d’une menace imminente sur le financement des pensions. “La part des dépenses de retraite dans le PIB a atteint un niveau particulièrement élevé en 2020, à 14,7 % de la richesse nationale”, mentionne pourtant le rapport de juin 2021 (format PDF). Mais le COR, en effet, ajoute que les dépenses du système de retraite par rapport au PIB diminueraient de 2030 à 2070 dans tous les scénarios.
22h53 : “Il faut aussi que les enseignants puissent avoir la formation continue. Il faut qu’ils puissent monter en grade, et notamment devenir enseignants-formateurs. (…) Donc, je pense qu’il faut surtout leur faire confiance. Il faut les revaloriser.“
22h47 : Sur la thématique de l’éducation, Marine Le Pen fait plusieurs propositions dans son programme. Elle souhaite notamment “restaurer notre système éducatif pour qu’il retrouve sa mission de transmission des savoirs”. La candidate RN propose notamment de “rétablir l’autorité de l’institution scolaire par l’instauration d’un uniforme au primaire et au collège tout en sanctionnant les absences et les incivilités”.
22h47 : “Il faut rétablir la discipline. Il faut rétablir la sécurité, c’est-à-dire qu’il faut que les élèves puissent aller à l’école sans avoir peur d’y aller. Ça veut dire aussi lutter contre le harcèlement scolaire, ce qui est, pour l’instant en tout cas, un échec.”
23h00 : “Il faut que l’on concentre surtout le temps sur des savoirs qui sont des savoirs fondamentaux, c’est-à-dire la maîtrise essentiellement du français écrit et parlé, des mathématiques et de l’histoire.”
Marine Le Pen est maintenant interrogée sur l’éducation et le sport par Mohamed Bouhafsi.
22h44 : Le “référendum sur l’immigration” voulu par Marine Le Pen, dont elle a parlé tout à l’heure, est une proposition relative à “la priorité nationale” et à l’instauration de “quotas”. Problème : ce sont deux thématiques qui peuvent être jugées anticonstitutionnelles et contraires au droit international et européen notamment. Nos explications à retrouver dans cet article.
22h47 : Interrogée sur l’élevage intensif, Marine Le Pen ne s’est pas exprimée en faveur d’une interdiction. En revanche, elle a ramené le débat sur l’abattage rituel. “L’abattage sans étourdissement, ça fait des années que je réclame la fin de l’abattage sans étourdissement. Et là, je peux vous dire la souffrance animale, c’est tous les jours des milliers de milliers de bêtes qui sont égorgées à vif.”
22h42 : Sur le réchauffement climatique, peu de propositions dans le programme de Marine Le Pen. La candidate du RN souhaite “assurer l’indépendance énergétique du pays pour baisser la facture des Français”. Pour cela, elle a décidé de faire la guerre à l’éolien, en “rendant aux ménages les 5 milliards de subventions versées notamment aux éoliennes” et “en arrêtant les projets éoliens et démanteler progressivement les parcs existants”.
22h42 : Marine Le Pen ne souhaite pas interdire la chasse à courre : “Je n’aime pas la chasse à courre, mais comme je ne suis pas un dictateur, je n’interdis pas ce que j’aime pas.” En revanche, elle souhaite interdire la corrida aux mineurs.
22h42 : “Le problème, c’est les conflits d’usage des forêts domaniales. Je pense que tous les usagers, que ce soient les chasseurs ou que ce soient les promeneurs ou autres, doivent pouvoir bénéficier, profiter de la nature. Je pense qu’il faut que ce soit surtout décidé localement, c’est-à-dire que l’on puisse dire le matin, par exemple, c’est la chasse et l’après-midi, c’est la promenade.”
22h41 : “Je crois beaucoup aux nouvelles technologies. Voyez, là encore, un projet européen qui aurait pu être mené, et qui ne l’a pas été depuis vingt ans. Je réclame des investissements massifs dans la recherche sur l’hydrogène. Si nous investissons massivement et que nous maîtrisons cette énergie hydrogène, eh bien nous réglerons une partie du problème de la consommation des énergies fossiles en France.”
22h32 : “Moi, je pense que la première des choses à faire, et la chose la plus urgente, c’est changer le système économique mondial. On ne peut plus admettre qu’on aille fabriquer 10 000 km plus loin, c’est ça qui est en train de nous tuer. Alors la solution, c’est localisme.”
Marine Le Pen est maintenant interrogée par Hugo Clément sur l’environnement et sur le dernier rapport du Giec.
22h35 : Toujours sur l’immigration, Marine Le Pen tente de se distinguer du programme d’Eric Zemmour. La candidate du RN ne souhaite pas parler de “grand remplacement” comme le fait son concurrent d’extrême droite. “Notre cheval de bataille n’est pas le ‘grand remplacement’. Nous avons des propositions dans tous les domaines et sans doute même davantage de mesures sociales que des candidats provenant d’autres bords politiques”, nous indiquait Marie Cauchy, élue au bureau national du RN lors d’un récent meeting de la candidate à Vienne (Isère).
22h35 : “Je ne crois pas qu’il existe de contrôles au faciès.”
Marine Le Pen refuse l’idée de l’existence de contrôle au faciès. “Je pense que les policiers contrôlent les gens qui sont dans la rue, qui sont là et qui leur apparaissent avoir un comportement… Je crois qu’il y a des quartiers dans lequels il y a une insécurité qui est plus importante qu’ailleurs.“
22h28 : La candidate du RN est finalement revenue sur cette proposition, le 17 février. Elle souhaite désormais un système progressif de départ à la retraite, en réservant la retraite à 60 ans avec 40 annuités aux Français entrés dans la vie active avant l’âge de 20 ans. Pour ceux qui commencent à travailler après l’âge de 20 ans et jusqu’à 24,5 ans, “un système progressif de 160 à 168 trimestres de cotisations sera mis en place”, a-t-elle ajouté, pour un départ entre “60,7 et 62 ans”.
22h26 : Quant à Marine Le Pen, elle a récemment revu sa position sur les retraites. Initialement, elle envisageait un départ à la retraite à 60 ans avec 40 annuités pour tous. Une proposition qui avait été critiquée y compris dans son propre camp, certains redoutant une mesure repoussoir pour l’électorat de droite.
22h26 : Le candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, par exemple, propose un âge légal de départ à la retraite à 60 ans avec 40 annuités de cotisation, indépendamment de l’âge d’entrée sur le marché du travail. De son côté, le candidat communiste Fabien Roussel souhaite instaurer le départ à la retraite à 60 ans “pour une carrière complète allant de 18 à 60 ans”, peut-on lire sur son programme.
22h26 : Sur les retraites, Marine Le Pen l’assure : “Je suis la seule à proposer une retraite qui permette à ceux qui sont entrés dans le monde du travail en-dessous de 20 ans de partir avec 40 annuités, à 60 ans”. C’est faux.
22h33 : Sur l’immigration, thématique au cœur du projet de la candidate RN, les positions sont restées sensiblement les mêmes qu’en 2017. Elle souhaite notamment “supprimer le droit du sol et limiter l’accès à la nationalité à la seule naturalisation sur des critères de mérite et d’assimilation”. Une nouveauté en revanche : un référendum sur l’immigration, qui entraînerait une réforme de la Constitution.
22h54 : “Je suis hostile au port du voile. (…) Je considère que c’est un uniforme islamiste.”
Marine Le Pen explique pourquoi elle souhaite l’interdiction de “tous les voiles” : “Je considère que c’est un acte de soumission inadmissible.”
22h32 : “Je considère que les aménagements de peine ne doivent pas intervenir avant les deux-tiers de la peine parce je crois à la certitude des peines, parce que dans la peine, il y a aussi le signal, la sanction…”
22h32 : “Je veux un système de protection sociale qui ne soit pas effondré par le poids, la charge que représente l’immigration, qui est à mon sens massive, anarchique, trop importante et dérégulée dans notre pays.”
22h17 : “Le problème, c’est qu’on ne crée pas assez d’emplois et de richesses dans le pays. Le problème, c’est notre modèle. Le problème, c’est la concurrence déloyale qu’on laisse se développer. Le problème, c’est l’absence de patriotisme économique.”
Interrogée sur les emplois non pourvus, Marine Le Pen estime que ce n’est pas le problème. “Il y a 5 millions 600 000 chômeurs dans notre pays. 5 millions 600.000 d’un côté, 130 000 emplois vides de l’autre.”
22h54 : “La priorité au logement social comme la priorité d’accès à l’emploi. Une priorité, c’est-à-dire qu’à compétences égales eh bien c’est vrai qu’il y aura la priorité donnée aux travailleurs français, face aux travailleurs étrangers.”
Nathalie Saint-Cricq interroge maintenant Marine Le Pen sur les questions d’immigration.
22h13 : ” Je ferai baisser le prix des péages. (…) A partir du moment où ce sont les Français qui ont payé les autoroutes, alors ils doivent bénéficier aujourd’hui des fruits de cet investissement.”
Marine Le Pen est interrogée sur son programme concernant la nationalisation des autoroutes.
22h21 : “Il n’y a pas de guerre en Afghanistan”. Cette déclaration de Marine Le Pen ce soir sur France 2 à la suite d’une question sur l’accueil de réfugiés afghans en France, comme c’est le cas aujourd’hui avec les réfugiés ukrainiens, a très largement fait réagir sur les réseaux sociaux. Sur Twitter, le journaliste Frédéric Martel a notamment dénoncé “une phrase déshonorante “.
22h09 : “Les économies sont à faire sur l’immigration, elles sont à faire sur la fraude, elles sont à faire sur notre contribution à l’Union européenne, qui est aujourd’hui devenue beaucoup trop importante par rapport à ce qu’elle l’était.”
22h07 : Mais le pays n’a pour le moment aucun terminal méthanier sur son territoire pour recevoir les livraisons. Une situation qui oblige Berlin à faire appel à l’un des 21 terminaux présents dans l’UE, ce qui entraîne des coûts de transport, alors même que le prix du gaz et de l’énergie s’est envolé ces derniers mois. “Il faut construire rapidement nos propres méthaniers GNL en Allemagne, avec les connexions et l’infrastructure nécessaires“, a donc conclu le ministère de l’Economie. En bref, l’Allemagne aimerait bien se défaire du gaz russe. Encore faut-il qu’elle en ait les moyens.
22h06 : “Les Allemands défendent leurs propres intérêts, et notamment ne veulent pas ne plus recevoir de gaz russe”, a affirmé Marine Le Pen. Mais il y a une différence entre pouvoir et vouloir. “Nous devons nous libérer des importations énergétiques russes”, a déclaré le ministre de l’Economie allemand Robert Habeck. Le gouvernement a d’ailleurs débloqué 1,5 milliard d’euros pour acheter du gaz naturel liquéfié, dont les principaux exportateurs sont les Etats-Unis, le Qatar et l’Australie.
22h04 : Sur les retraites, Marine Le Pen propose que les retraités puissent toucher 1 000 euros minimum de retraite, “quelle que soit la durée de cotisation”, La candidate du RN souhaite également que le minimum vieillesse, ou allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), soit porté à 1 000 euros. Selon elle, c’est “un choix de société” que doivent faire les Français.
22h22 : “On n’a eu de cesse de dire aux Français ‘vous allez devoir faire toujours plus de sacrifices, travailler toujours plus longtemps et probablement toucher des retraites toujours plus basses’. Ça je ne le souhaite pas et je propose aujourd’hui dans cette campagne, je suis la seule à proposer une retraite qui permette à ceux qui sont entrés dans le monde du travail en dessous de 20 ans de partir avec 40 annuités à 60 ans.”
22h02 : “Je crois à la valeur travail et je pense qu’il faut aider les étudiants qui ont vécu une période de précarité absolument terrible dans les deux dernières années, avec privation de liberté et précarité. (…) Moi, ce que je veux, c’est faire un revenu complémentaire que livrera l’Etat (…). Donc, les étudiants qui travaillent seront avantagés par rapport à ceux qui ne travaillent pas.”
22h29 : “Je n’ai pas besoin de bloquer les prix. Moi, je vais sortir du marché européen de l’électricité.”
Interrogée sur l’idée formulée par d’autres candidats de bloquer les prix de l’énergie, Marine Le Pen avance d’autres pistes. “Je n’ai pas besoin de bloquer les prix, puisque je veux baisser la TVA.”
22h00 : “Ce que défendent les Patriotes, c’est le patriotisme économique. C’est-à-dire que ce que nous défendons, le localisme. C’est l’idée de dire qu’il faut que nous puissions donner à nos productions agricoles un avantage, notamment dans les cantines scolaires, dans la restauration collective.”
Marine Le Pen est maintenant interrogé par Francis Letellier sur son programme économique.
21h53 : Marine Le Pen se dit aujourd’hui “d’accord” avec certaines sanctions économiques prises par les puissances occidentales contre la Russie de Vladimir Poutine. “Nous ne croyons pas en une diplomatie de menaces, de sanctions ou dans une diplomatie de chantage que l’Union européenne, malheureusement, applique de plus en plus contre la Fédération de Russie et contre ses propres membres”, avait-elle pourtant assuré lors de sa rencontre avec l’homme fort du Kremlin en 2017.
21h52 : Pour rappel, la France dépend aujourd’hui à 20% du gaz russe. C’est moins que certains de nos voisins. Les importations de gaz russe de l’Autriche, de l’Allemagne et de l’Italie représentent près de la moitié de leur consommation.
21h52 : La France a constaté “une hausse de l’ordre de 10% depuis le début de la crise en Ukraine”, a déclaré Bruno Le Maire. “Donc on n’est pas dans une flambée multipliée par deux, par trois ou par quatre”, a relativisé le ministre de l’Economie. Le gouvernement envisage une prolongation du dispositif de bouclier tarifaire “jusqu’à la fin de l’année”.
21h52 : Marine Le Pen a mentionné les répercussions de la guerre en Ukraine sur l’économie française, et notamment sur le prix du gaz. Elle estime qu’il est “aujourd’hui quatre fois plus cher qu’il ne l’était il y a quelques semaines et que cette situation pourrait encore s’aggraver de manière spectaculaire”. C’est faux si l’on en croit les chiffres donnés par le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, mardi sur franceinfo.
21h51 : “Je terminerai en vous disant que non seulement je ne veux pas un marché européen, mais je veux même en sortir. Je veux sortir du marché européen de l’électricité aujourd’hui pour que à nouveau, les Français bénéficient de leurs investissements, de leurs choix, qui étaient les bons pour pouvoir avoir une énergie (…) la moins chère possible.”
22h02 : Il y a bien eu des échanges de prisonniers, en 2019 et 2020, mais Marine Le Pen a raison de dire que ces accords étaient au point mort. Dans les faits, la guerre se poursuivait de manière quotidienne, depuis huit ans. Les violations du cessez-le-feu, innombrables, étaient recensées par l’OSCE. “Moscou préfère une zone d’instabilité permanente et n’a pas grand intérêt à la résolution du conflit”, analysait toutefois la chercheuse Anna Colin Lebedev sur franceinfo, avant le début de la guerre.