EN DIRECT – Attaque au couteau à Annecy: Emmanuel Macron va rencontrer le “héros au sac à dos”

Après avoir rendu visite aux victimes de l’attaque, Emmanuel et Brigitte Macron sont arrivés à la préfecture d’Annecy.

Emmanuel et Brigitte Macron sont arrivés à l’hôpital d’Annecy. Ils se trouvent au chevet de l’homme qui a été grièvement blessé jeudi.

Il a non seulement reçu des coups de couteau mais a aussi été touché par une balle perdue tirée par un membre des forces de l’ordre.

Le président de la République, arrivé il y a environ une heure au CHU de Grenoble, où sont hospitalisés trois des quatre enfants blessés, a pris la route vers Annecy. Il a pu rencontrer les victimes et leurs proches, au lendemain de l’attaque au couteau ayant fait 6 blessés, dont 4 enfants en très bas âge, jeudi.

Emmanuel Macron avait indiqué souhaiter rencontrer non seulement les victimes, mais également toutes les personnes ayant “contribué à (leur) apporter aide et soutien”.

La garde à vue du suspect de l’attaque au couteau qui a fait six blessés à Annecy, en Haute-Savoie, est prolongée ce vendredi, a annoncé ce vendredi sur Twitter la procureure d’Annecy Line Bonnet-Mathis. L’homme de 31 ans, unréfugié syrien, a été interpellé jeudi.

Sa garde à vue se déroule dans des circonstances difficiles. Jeudi, le suspect était “très agité”, tenait des propos incohérents et s’est roulé par terre à plusieurs reprises. Le suspect a été jugé “anxieux” et “dépressif”, mais son état est considéré comme étant compatible avec une garde à vue, a appris BFMTV de source proche de l’enquête.

L’ex-footballeur Anthony Le Tallec, témoin de l’agression au couteau ayant blessé 6 personnes dont 4 enfants jeudi à Annecy, avait livré son témoignage à plusieurs médias, dont BFMTV. Il revient, ce vendredi, sur ce qu’il a vécu dans un message publié sur Twitter et dépeint un”immense sentiment d’impuissance”.

Après avoir été témoin de l’attaque, il était “en état de choc et révolté”, a-t-il ajouté, tout en apportant son soutien aux victimes.

Il a par ailleurs indiqué qu’il n’était pas policier et qu’il ne voulait “en aucun cas remettre en question leur courage et leur bonne volonté”, et a salué la qualité de leur intervention pour neutraliser l’assaillant.

Le président de la République va rencontrer ce vendredi après-midi Henri, 24 ans, surnommé “le héros au sac à dos” sur les réseaux sociaux et dans les médias après avoir fait face à l’auteur d’une agression au couteau, jeudi, à Annecy (Haute-Savoie), a indiqué l’Élysée.

“Ce matin nous avons indiqué que le Président et son épouse souhaitaient pouvoir rencontrer l’ensemble des personnes qui, à Annecy, ont contribué à apporter aide et soutien aux victimes et à leurs familles. Il en fait bien évidemment partie”, a précisé la même source.

Henri a de son côté déclaré sur BFMTV qu’il ne savait pas encore ce qu’il allait lui dire, estimant qu’il “faisait son rôle de président en allant soutenir les familles” et en allant “témoigner de la présence de l’État sur place”.

“C’est profondément anti-chrétien de s’en prendre à des êtres innocents, parfaitement désarmés et faibles” comme des enfants, a estimé sur BFMTV Henri, le “héros au sac à dos” qui a permis d’éloigner l’assaillant lors de l’attaque au couteau survenue jeudi à Annecy. Ce “chrétien pratiquant” se trouvait à Annecy dans le cadre d’un tour des cathédrales de France.

Pour lui, le “vrai message de la chrétienté” est de “défendre la veuve et l’orphelin”. Le suspect de cette attaque, un Syrien ayant obtenu le statut de réfugié en Suède, s’est présenté comme “chrétien de Syrie” dans le dossier de demande d’asile qu’il a déposé en France.

“Je ne comprends pas que l’on puisse se prétendre chrétien, se revendiquer du Christ et attaquer des enfants”, a-t-il estimé.

“C’était impossible d’assister sans réagir” à l’attaque au couteau survenue près du lac d’Annecy jeudi, déclare Henri, 24 ans, sur BFMTV. Le jeune homme, surnommé “héros au sac à dos” sur les réseaux sociaux, puisqu’il portait un gros sac sur le dos au moment où il a fait face à l’assaillant et a freiné sa course, témoigne.

“J’ai essayé d’agir comme tout Français l’aurait fait”, a-t-il encore déclaré. Au début, Henri ne comprend pas vraiment ce qu’il se passe : “j’ai cru à un vol à l’arrachée”. Mais il se rend compte rapidement qu’il s’agit d’une attaque et poursuit l’assaillant.

Il a également précisé que d’autres personnes ont tenté avec lui de freiner la course de l’assaillant, comme “un agent municipal”. L’assaillant “semblait comme un fou furieux”, selon Henri.

Youssouf, l’une des six victimes de l’assaillant à l’origine de l’attaque au couteau perpétrée jeudi à Annecy, a témoigné auprès de l’agence de presse Reuters. Il a heureusement évité le coup que l’agresseur a voulu lui mettre.

“J’ai entendu du bruit, puis j’ai vu quelqu’un qui était suivi par des citoyens, des civils. Il avait un couteau, je l’ai vu”, explique-t-il.

A ce moment-là, il était à “environ 85 mètres” de lui. Youssouf est resté assis sur le banc où il était, il n’a pas bougé, pas essayé de s’interposer contre l’assaillant. Mais ce dernier est toutefois venu vers lui, et “a tenté de (le) poignarder avec son couteau”. Heureusement, Youssouf “fait un mouvement avec (son) bras gauche” et évite le coup.

En rentrant en voiture vers Annecy, “j’ai reçu un message d’urgence ‘Code rouge, tuerie de masse'”, explique Martial Saddier, président du SDIS 74 et des Républicains de Haute-Savoie, au micro de BFMTV. C’est le premier message qu’il a reçu jeudi matin, au moment de l’attaque au couteau dans un parc de la ville.

La première ambulance des pompiers est arrivée 4 minutes après le déclenchement de l’alerte, explique-t-il, grâce à une grande caserne à proximité du Pâquet. 69 pompiers ont été mobilisés au total, a-t-il indiqué.

Parmi eux, et notamment dans le tout premier équipage, beaucoup de jeunes professionnels exerçant depuis moins de 2 ans. Le soir, ils “étaient déjà repartis” en intervention et fiers de ce qu’ils avaient accompli après l’attaque. Ils ont demandé à avoir “deux à trois fois par jour des nouvelles des victimes”.

Le couple présidentiel vient d’arriver à Grenoble pour rendre visite à trois des enfants grièvement blessés lors de l’attaque au couteau d’Annecy.

En déplacement dans les Bouches-du-Rhône, la Première ministre est revenue sur l’attaque au couteau qui a eu lieu ce jeudi à Annecy.

“J’invite chacun à faire preuve de dignité”, a expliqué Élisabeth Borne qui s’est déjà rendue sur le lieu du drame.

Une manifestations d’ultra droite avec une cinquantaine de personnes a été organisée jeudi soir devant l’aire de jeux où six personnes, dont quatre enfants de 22 à 36 mois ont été blessés, avant d’être rapidement dispersée.

Il a fait face à l’assaillant de la terrible attaque au couteau survenue jeudi matin à Annecy (Haute-Savoie). Henri, un étudiant de 24 ans surnommé sur les réseaux sociaux le “héros au sac à dos”, a déclaré sur CNews avoir “suivi (son) instinct” lors de son courageux geste contre l’agresseur armé.

“J’ai surtout eu peur pour la vie des autres”, a-t-il expliqué, indiquant ne s’être rendu compte du danger qu’il encourait, face à un homme armé d’un couteau, que “quand le stress est retombé après l’action”.

Témoin clé pour les enquêteurs, sa déposition a duré “3 heures”, a-t-il encore déclaré. Ses pensées sont avant tout tournées vers les victimes: “J’espère qu’elles vont bien, qu’elles s’en sortiront”.

Le président de la République Emmanuel Macron est arrivé à Grenoble où sont hospitalisés trois des quatre enfants blessés dans l’attaque au couteau perpétrée jeudi matin à Annecy (Haute-Savoie).

La Première ministre Elisabeth Borne et le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’étaient déjà rendus jeudi à Annecy, une ville sous le choc après l’attaque au couteau survenue en plein jour dans un parc très fréquenté au bord du lac.

“La politique n’a pas sa place aujourd’hui, quand on a quatre enfants qui sont entre la mort et la vie”, estime sur BFMTV Frédérique Lardet, présidente du Grand Annecy, au lendemain de l’attaque au couteau ayant fait 6 blessés dont 4 enfants.

“Le problème, c’est cet homme”, a-t-elle ajouté. Pour elle, la question de l’intégration doit se poser, “mais au niveau de l’Europe. La France n’est pas seule dans cette problématique”, a-t-elle précisé.

Le suspect, un Syrien de 31 ans ayant obtenu le statut de réfugié en Suède, était en situation régulière en France.

Selon nos informations, l’avion d’Emmanuel Macron a décollé un peu après 9h. Le président de la République se rend auprès des victimes de l’attaque au couteau perpétrée jeudi à Annecy (Haute-Savoie).

La Première ministre Elisabeth Borne et le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’étaient déjà rendus jeudi à Annecy, une ville sous le choc après l’attaque au couteau survenue en plein jour dans un parc très fréquenté au bord du lac.

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Après l’attaque au couteau d’Annecy, Nicolas Dupont-Aignan cible Emmanuel Macron, l’accusant d’être “l’homme de l’immigration massive”, ce vendredi sur LCI.

Le député Debout la France a défendu “la primauté du droit français sur le droit européen pour sortir de la gestion européenne du système migratoire et reprendre notre indépendance.”

Le président de la République Emmanuel Macron va se rendre à Annecy ce vendredi auprès des victimes de l’attaque au couteau perpetrée la veille.

“C’est normal que les autorités et celles et ceux qui représentent le peuple tout entier démontrent la compassion, l’émotion de la nation tout entière”, juge Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise (LFI), interrogé sur CNews. “Donc oui, je pense que c’est son rôle de se rendre sur place”.

“Un peu de dignité”. Invité de Public Sénat, le député insoumis Alexis Corbière invite la classe politique à “garder une décence” et à “ne pas faire feu de tout bois”, après l’attaque au couteau à Annecy.

A droite, comme à l’extrême droite, plusieurs responsables politiques sont rapidement sortis du bois ce jeudi pour s’en prendre au profil de l’assaillant, un demandeur d’asile syrien, en situation régulière.

Aurore Bergé, cheffe de file des députés maconistes, est également accusée de récupération par la gauche, après avoir demandé que “l’humanité” prenne le dessus sur les débats sur les retraites, en référence à l’atatque au couteau à Annecy.

“Quasiment tous les enfants” d’Annecy ont déjà joué dans le parc où l’attaque au couteau ayant fait 6 blessés, dont 4 enfants, s’est produite jeudi, explique sur BFMTV Julien Estrangin , directeur des éditions Savoie du Dauphiné Libéré.

“C’est un lieu de sérénité d’habitude”, a-t-il ajouté.

Des fleurs, des petites peluches et des petits mots ont été installés au niveau du parc, témoignant de l'”énorme émotion” qui touche la ville. Le parc est vide ce matin, les familles et enfants ne sont pas présents.

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“Je ne comprends pas, alors qu’on est dans le temps de l’émotion, du choc […] que les uns et les autres commencent à s’adonner à un jeu que je trouve malsain”, dit le porte-parole du gouvernement Olivier Véran, alors que la droite et l’extrême droite s’en sont pris au profil de l’assaillant, un demandeur d’asile syrien.

“Il y aura des réponses qui seront apportées, il faut de la transparance, c’est une évidence, il faut tout faire pour que ce genre de drame ne se reproduise pas, mais une fois qu’on aura fait ce travail préléminaire”, ajoute l’ex-ministre de la Santé.

Au lendemain de l’attaque perpetrée à Annecy a fait 6 blessés, dont 4 enfants en bas âge, les médias relèvent tous l’émotion suscitée par cet évènement.

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Le porte-parole du gouvernement français Olivier Véran déclare ce vendredi sur France Info que deux des enfants blessés sont toujours “en urgence vitale” ce matin, après l’attaque au couteau survenue jeudi.

“Aux dernières nouvelles que j’ai (…), il y aurait encore deux enfants qui seraient considérés en urgence vitale”, a-t-il indiqué.

“Il n’y a rien de plus barbare, rien de plus insensé et rien qui heurte davantage que de s’attaquer à des enfants”, dit Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, après l’attaque au couteau à Annecy.

“Je crois que la meilleure réaction que l’on peut avoir, c’est celle qu’a eu ce héros, Henri”, relève également Bruno Le Maire sur BFMTV-RMC.

La garde à vue du suspect est difficile. Il a été “agité” jeudi, indique Sonia Fibleuil, porte-parole de la Police nationale sur BFMTV, au lendemain de l’attaque au couteau ayant fait 6 blessés à Annecy.

“Le suspect a été particulièrement agité en garde à vue hier” a-t-elle expliqué.

Les enquêteurs espèrent pouvoir comprendre les motivations du suspect.

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“Il faut considérablement retrécir le droit d’asile en mettant des véritables critères qui, aujourd’hui, ont été élargis à l’extrême”, juge Marine Le Pen, cheffe des députés RN, sur Europe 1.

“Lorsqu’un pays de l’Union européenne délivre un droit d’asile, la personne qui bénéficie de ce droit d’asile ne devrait pas pouvoir aller dans les autres pays de l’Union européenne, sauf à demander un visa, pour que nous récupérions la capacité de contrôler l’immigration”, déclare la triple candidate à la présidentielle.

“Il est évident qu’il y a eu des défaillances”, juge Marine Le Pen sur Europe 1, au lendemain de l’attaque au couteau à Annecy.

Pour elle, l’assaillant – un réfugié syrien – “aurait dû faire l’objet d’une procédure accélérée en 15 jours, qui fait qu’on constate imédiatement qu’il a déjà le droit d’asile dans un autre pays de l’Union européenne (La Suède).”

“Il y a eu de longs mois entre le moment où il a déposé sa demande, en novembre 2022, et le moment où il a reçu, le 5 juin, l’avis de refus de cette demande d’asile”, en France, justifie notamment la cheffe de file des députés RN.

“Je ressens ce que ressentent tous les Français, nous sommes tous sous le choc de cette attaque effroyable” qui est “de la barbarie ultime dans notre civilisation”, déclare Marine Le Pen sur Europe 1, au lendemain de l’attaque au couteau à Annecy.

“S’attaquer à des bébés, les poignarder dans leur poussette, c’est inimaginable pour l’ensemble de la population française”, juge la cheffe des députés RN, estimant qu’il y a “un certain nombre de questions qui se posent”.

“Cette affaire doit poser des questions”, déclare Éric Ciotti, après l’attaque au couteau à Annecy. Certes, “il y a [de] l’émotion”, avance le président du parti Les Républicains (LR), mais “il y a aussi le devoir des questions” et de “l’action”.

“Est-ce qu’on a tout fait pour éviter ça?”, questionne le député des Alpes-Maritimes, qui estime que, “derrière cette affaire”, “il y a un chaos migratoire”.

L’élu sudiste évoque une “immigration totalement incontrôlée”, qui a “un lien direct avec l’augmentation de la violence et de la délinquance”.

Le président Emmanuel Macron se rend ce vendredi auprès des victimes de l’attaque au couteau d’Annecy qui a touché six personnes, dont quatre enfants en bas âge, agressées par un réfugié syrien, a indiqué l’Elysée.

“A la suite de l’attaque survenue hier, le président de la République et son épouse se rendent aujourd’hui aux côtés des victimes et de leurs familles ainsi que de l’ensemble des personnes qui à Annecy ont contribué à leur apporter aide et soutien”, a affirmé l’Elysée.

“Une abomination”. C’est ainsi qu’Éric Ciotti, président du parti Les Républicains, décrit sur France 2, l’attaque au couteau qui s’est déroulée la veille au lac d’Annecy et a fait 6 blessés, dont quatre enfants.

“Toucher un enfant, c’est toucher à ce qu’on a de plus précieux, c’est frapper l’innocence, c’est insupportable, incompréhensible”, dit le député des Alpes-Maritimes.

Mgr Yves Le Saux, évêque d’Annecy, a évoqué jeudi soir sur BFMTV un “drame terrible” après l’attaque au couteau. Le religieux a estimé que tuer au nom de Dieu était “une perversion absolue” alors que le suspect semble parler du Christ dans une vidéo de l’attaque.

Il s’est également dit “bouleversé” par ce drame et “pense aux enfants et à leurs parents”.

Une messe sera célébrée à 18h à la cathédrale d’Annecy.

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Un examen psychiatrique du suspect est prévu ce vendredi matin, a indiqué le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, invité au “20 Heures” de TF1 hier soir.

Cet homme, Abdalmasih H., de nationalité syrienne, avait obtenu l’asile en Suède en 2013 où il a vécu pendant dixans avant de quitter le pays à l’automne dernier.

Il est en garde à vue depuis son interpellation jeudi matin, mais se montre “très agité” face aux enquêteurs. Ses motivations restent obscures à ce stade, “sans mobile terroriste apparent” selon le parquet.

Le “héros au sac à dos” a été identifié. Sur la vidéo de l’attaque qui a vite circulé sur les réseaux sociaux, un homme a retenu l’attention des internautes. Ce passant, qui portait un sac de randonnée, a poursuivi pendant de longs instants l’homme armé d’un couteau, réussissant à l’éloigner de l’aire de jeu où il s’en est pris à des enfants de 22 mois à 3 ans.

Il s’agit d’un jeune homme de 24 ans, Henri, qui parcourt la France pour faire le tour des cathédrales pendant neuf mois. Son périple à débuté fin-mars au Barroux dans le Vaucluse, comme le montre le site internet qui retrace tout son parcours.

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Bienvenue sur ce direct consacré au suivi de l’attaque contre des enfants à Annecy, perpétrée jeudi. Au lendemain des faits, qui ont choqué le pays entier, l’heure est à la poursuite de l’enquête.

Deux adultes et quatre jeunes enfants ont été blessés. Deux d’entre eux se trouvent en urgence absolue. Le suspect est un homme de nationalité syrienne, réfugié en Suède et en situation régulière.