DIRECT. Après l’Assemblée nationale, Elisabeth Borne prononce son discours de politique générale devant le Sénat

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21h53 : Bonjour @mateo69, nous n’avons pas encore cette liste. On sait simplement que ce sont les quatre partis de la Nupes (LFI, PS, PCF, EELV) qui ont déposé cette motion de censure, qu’ils appellent “motion de défiance”.

21h53 : A-t-on la liste des signataires de la motion de censure de la Nupes ?

21h50 : “Bâtir des compromis, ce n’est pas se renier. Ce n’est pas mettre de côté nos différences, c’est assumer les clivages, mais refuser les postures. En cela, le Sénat a été précurseur. Mon gouvernement partage avec vous bon nombre de priorités et de solutions.”

Elisabeth Borne s’exprimait il y a quelques instant devant le Sénat, où elle a fait sa déclaration de politique générale.

21h46 : Elisabeth Borne a annoncé dans un entretien à Elle avoir saisi le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) pour un éclairage sur la notion de consentement lors des examens gynécologiques. La secrétaire d’Etat au Développement Chrysoula Zacharopoulou, gynécologue de profession, spécialiste reconnue de l’endométriose, est visée par une enquête après deux plaintes pour viol et une troisième pour “violences” déposées ces dernières semaines.

21h29 : Jeudi, le gouvernement va présenter le très attendu projet de loi sur le pouvoir d’achat. Parmi les mesures prévues, une revalorisation des retraites de 4 %. France 3 fait le point sur les annonces.

21h14 : La Première ministre Elisabeth Borne a demandé aux entreprises qui le peuvent d’“augmenter les salaires” de leurs employés, notamment via des primes défiscalisées. “J’invite les entreprises qui le peuvent financièrement à augmenter les salaires ou à mobiliser ces primes de pouvoir d’achat”, a affirmé la cheffe du gouvernement sur TF1.

20h51 : Le gouvernement ne compte pas prendre de “mesure nationale d’obligation” du port du masque pour combattre la 7e vague de Covid-19, a rappelé Elisabeth Borne, invitée de TF1. La Première ministre en a appelé “aux Français”, soulignant qu’il était recommandé de porter un masque dans les transports en commun et les lieux bondés.

20h44 : “La tonalité cet après-midi a montré que certains groupes étaient dans la discussion, et que d’autres étaient dans les attaques personnelles, les invectives. Le Rassemblement national et La France insoumise ne sont, effectivement, pas dans la construction.”

20h42 : “On a l’objectif d’augmenter les pensions (…). Quand on regarde chez nos voisins, on part plus tard à la retraite que chez nous. Mais ça ne peut pas être une réforme uniforme, tous les métiers ne sont pas les mêmes.”

20h40 : “On va être attentif à l’évolution du prix à la pompe. Il faut être conscient que l’on mobilise beaucoup d’argent, finalement, pour subventionner des énergies polluantes”, explique Elisabeth Borne, la Première ministre, interviewée lors du journal de 20 heures de TF1, au sujet du rabais de 18 centimes par litre mis en place par le gouvernement sur le prix de l’essence.

20h12 : “Je ne vois pas ce qu’on peut lui reprocher. Elle a un cursus universitaire et politique, une grande expérience du terrain, je ne vois pas ce qu’on peut lui demander de plus, mais c’est une femme, donc on va toujours la critiquer.”

Elle a été parfaite”, a jugé sur franceinfo l’ancienne Première ministre, Edith Cresson, après le discours de politique générale d’Elisabeth Borne.

20h03 : Il est 20 heures, c’est donc le moment de faire un nouveau point sur l’actualité :

Elisabeth Borne a prononcé son discours de politique générale devant les députés, cet après-midi. La cheffe du gouvernement n’a cessé de défendre le compromis, nouvelle méthode du gouvernement.

#POLITIQUE Avant la déclaration de politique générale, la Nupes a déposé une motion de censure contre le gouvernement d’Elisabeth Borne. Elle ne sera pas votée avant vendredi.

La pression s’accentue sur Boris Johnson. Cinq nouveaux secrétaires d’Etat ont démissionné de son gouvernement, après plusieurs départs, et une délégation de ministres va lui demander de quitter le 10, Downing Street.

Au terme d’une folle étape, l’Australien Simon Clarke s’est imposé à Arenberg, alors que Wout van Aert garde son maillot jaune.

19h27 : Après la déclaration de politique générale d’Elisabeth Borne à l’Assemblée, “nous [la majorité et les oppositions] pouvons nous retrouver” sur certains sujets, assure sur franceinfo la porte-parole de Renaissance, Prisca Thévenot. Sur la main tendue de la Première ministre face aux députés, Prisca Thévenot affirme que “plus que des paroles, il y a déjà eu des actions”, pointant que “le président a reçu l’ensemble des représentants des différents mouvements politiques français” au lendemain du second tour des élections législatives.

18h36 : La Première ministre, Elisabeth Borne, à la tête d’un nouveau gouvernement, a présenté sa feuille de route devant le Parlement. “Catalogue de banalités”, “succession de phrases creuses”le discours n’a pas manqué de faire réagir la classe politique, et notamment les oppositions au gouvernement.

18h10 : Il est 18 heures, on fait le point :

Elisabeth Borne a prononcé son discours de politique générale devant les députés, cet après-midi. La cheffe du gouvernement n’a cessé de défendre le compromis, nouvelle méthode du gouvernement.

#POLITIQUE Avant la déclaration de politique générale, la Nupes a déposé une motion de censure contre le gouvernement d’Elisabeth Borne. Elle ne sera pas votée avant vendredi.

La pression s’accentue sur Boris Johnson. Cinq nouveaux secrétaires d’Etat ont démissionné de son gouvernement, après plusieurs départs, et une délégation de ministres va lui demander de quitter le 10, Downing Street.

Au terme d’une folle étape, l’Australien Simon Clarke s’est imposé à Arenberg, alors que Wout van Aert garde son maillot jaune.

17h58 : Vous n’avez pas pu suivre cette folle après-midi à l’Assemblée nationale, avec la déclaration de politique générale d’Elisabeth Borne ? Pas de problème, mes collègues Margaux Duguet et Antoine Comte vous racontent, depuis le Palais-Bourbon, ce qu’il faut retenir de ce discours qui doit lancer l’action de l’exécutif.

(XOSE BOUZAS / HANS LUCAS / HANS LUCAS VIA AFP)

17h51 : Laurent Marcangeli, président du groupe Horizons, s’exprime maintenant à la tribune de l’Assemblée nationale. Le député corse y défend “le consensus”, là où Elisabeth Borne prônait “le compromis”, il y a deux heures.

17h47 : Bonjour @cyclo_ecolo, les députés non-inscrits ont aussi le droit à la parole, pendant cinq petites minutes. Ils doivent préalablement désigner, entre eux, un orateur, qui ne reflète cependant pas la position de l’ensemble de ces parlementaires hors des groupes. Quant à une éventuelle réponse d’Elisabeth Borne, elle n’est pas prévue, précisément parce qu’un vote de confiance n’aura pas lieu.

17h47 : Bonjour Thibaud. Je croyais que seuls les présidents de groupe pouvaient s’exprimer (d’où l’intérêt d’en constituer un). Mais alors, pourquoi un non-inscrit (Nicolas Dupont-Aignan) a-t-il le droit de prendre la parole dans cet instant solennel ? A la fin, la Première ministre va-t-elle répondre ? C’était le cas des dernières DPG, mais il y avait alors un vote de confiance…

17h51 : Après Jean-Paul Mattéi, Boris Vallaud fustige le bilan du quinquennat précédent et “l’ère néolibérale”, au nom des députés socialistes. Le député des Landes est néanmoins moins offensif contre Elisabeth Borne que Mathilde Panot, présidente du groupe LFI.

(Arthur Nicholas Orchard / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP)

17h32 : Je vous rappelle qu’il n’y aura pas de vote de la motion de censure de la Nupes aujourd’hui. En effet, il doit s’écouler au moins 48 heures entre le dépôt d’une telle motion et son vote. Ce sera donc pour vendredi, au plus tôt.

17h29 : Jean-Paul Mattéi, président du groupe Démocrate (MoDem et indépendants) a pris la parole à la tribune de l’Assemblée nationale. Suivront Boris Vallaud (PS), Laurent Marcangeli (Horizons), Cyrielle Chatelain (EELV), André Chassaigne (PCF), Bertrand Pancher (LIOT), Julien Bayou (EELV) et Nicolas Dupont-Aignan (non-inscrits). Ces discours doivent se terminer vers 18h30 environ.

17h21 : “Ni compromission ni petits arrangements”, assure à son tour Olivier Marleix. “Pas de blocage stérile”, dit néanmoins le président du groupe LR.

17h33 : Le patron des députés LR égrène ensuite les sujets sur lesquels son groupe pourrait apporter à la majorité relative les précieuses voix pour dépasser le seuil des 289 voix à l’Assemblée nationale, comme le conditionnement du RSA à 15 heures de travail hebdomadaires ou l’instauration de “peines minimales exemplaires”.

(BERTRAND GUAY / AFP)

17h18 : Après Mathilde Panot (LFI-Nupes), c’est au tour d’Olivier Marleix (président des Républicains) de prendre la parole pendant dix minutes. “Nous avons comme boussole le bien commun de la France. Nous sommes prêts à adopter tous les textes qui iront dans le sens du sursaut”, déclare le député.

17h12 : C’est au tour de @MathildePanot, la présidente du groupe LFI de prendre la parole. “Madame #Borne, vous avez tout fait pour dissimuler votre pouvoir par effraction. La macronie peine à faire le deuil des 5 années passées. Les playmobiles lui manquent” @franceinfoplus @franceinfo

17h18 : “Nous déposerons une motion de défiance, c’est ce qui se produit quand l’exécutif n’écoute que lui-même.”

Plus offensive que Marine Le Pen, Mathilde Panot estime qu’Elisabeth Borne est “prête à toutes les compromissions” dans “un pouvoir en voie de décomposition” et parle d’un gouvernement constitué de “fonds de tiroirs”. Elle défend la motion de censure déposée au nom des quatre groupes de l’opposition de gauche et accuse d’avoir choisi “plutôt la peste brune que le contrôle fiscal” aux législatives.

(BERTRAND GUAY / AFP)

17h06 : Alexandre Loubet (RN), qui devait intervenir cinq minutes après un discours de dix minutes de Marine Le Pen, ne prendra pas la parole en raison d’un temps de parole épuisé pour le parti d’extrême droite.

16h58 : Après Aurore Bergé, la présidente du groupe Renaissance, c’est au tour de Marine Le Pen pour le RN de prendre la parole : “Emmanuel Macron fait comme s’il ne s’était rien passé dans les urnes. Ils nous a fait des remaniements plus improbables les uns que les autres” @franceinfo

16h57 : Marine Le Pen estime qu’il ne reste plus à Emmanuel Macron que “l’illusion de la puissance”. La nomination d’Elisabeth Borne relève d’un “scénario obsolète”, fustige celle qui est à la tête d’un groupe de 89 parlementaires. “Nous n’avons aucune confiance dans votre gouvernement”, dit-elle.

16h55 : “Emmanuel Macron se voit contraint d’entendre les Français et c’est heureux ! Ils lui imposent un rééquilibrage institutionnel. C’est un grand moment politique.”

Au tour de Marine Le Pen de s’exprimer à la tribune de l’Assemblée. La présidente des députés RN se félicite de la majorité relative décrochée par le chef de l’Etat à l’issue des législatives, il y a deux semaines et demie. Elle attaque frontalement le président de la République et “son pouvoir irrémédiablement narcissique”.

16h53 : Sans surprise aucune, Aurore Bergé assure à Elisabeth Borne le soutien du groupe Renaissance (ex-LREM).

16h47 : Bonjour @Emmanuelle, oui, Elisabeth Borne a évoqué “la transformation de Pôle Emploi en France Travail. Nous devons joindre nos forces pour être plus efficaces dans l’accompagnement des chômeurs, c’est comme ça que chaque Français trouvera sa place dans le marché du travail”, a-t-elle appelé de ses vœux.

16h47 : Bonjour FI ! Est-ce qu’Elisabeth Borne a évoqué France Travail dans son discours ? J’ai loupé la partie emploi… Merci !

16h45 : Les observateurs attentifs auront remarqué que 2 présidentes de groupe n’ont pas été citées dans le discours de la Première ministre : Marine Le Pen (RN) et Mathilde Panot (LFI) #DirectAN

16h43 : Edith Cresson, la première femme à accéder à Matignon, a jugé le discours d’Elisabeth Borne “absolument remarquable” auprès de nos confrères de BFMTV. Dans sa déclaration de politique générale, l’actuelle Première ministre a rendu hommage à celle qui avait accédé à la tête du gouvernement, en 1991.

16h39 : “Le compromis, c’est la base du travail parlementaire. Aucun des groupes de notre Assemblée ne peut revendiquer d’avoir obtenu la pleine confiance des Français.”

Patronne des députés du camp d’Emmanuel Macron, Aurore Bergé défend une méthode parlementaire renouvelée avec les oppositions, dans la lignée d’un discours d’Elisabeth Borne marqué par la recherche permanente du “compromis”.

16h34 : C’est maintenant au tour d’Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance (ex-LREM), de prendre la parole. La députée rend hommage au général de Gaulle et invite à “adapter nos pratiques parlementaires” alors que les députés de gauche ont quitté les rangs de l’Hémicycle.

16h30 : Après une première heure et demie d’un discours à la voix maîtrisée, Elisabeth Borne appelle “à écrire une nouvelle page de l’histoire politique” de la France. “Je m’engage à ne jamais rompre le fil du dialogue, à bâtir des compromis ambitieux. Les Français ont sonné l’heure de la responsabilité, nous serons au rendez-vous. Nous avons tous et toutes une part à prendre, nous avons tout pour réussir. Bâtir ensemble, nous y parviendrons”, conclut-elle au terme de sa prise de parole.

16h26 : “Le combat continuera jusqu’à ce que l’égalité ne pose plus de questions”, poursuit Elisabeth Borne.

16h26 : Emue, Elisabeth Borne évoque “le courage” et “la force” de Simone Veil “qui l’inspire”. Elle évoque aussi Edith Cresson, première femme PM. Des députés de la majo incitent ceux de la Nupes à se lever.

16h25 : Gorge serrée et émotion sincère dans la voix d’Elisabeth Borne quand elle évoque son parcours, « pupille de la nation », et son père « jamais vraiment revenu des camps ». #DPG

16h27 : “Si je suis ici devant vous, Première ministre de la France, je le dois à la République. C’est elle qui m’a tendu la main, alors que j’étais pupille de la nation.”

Elisabeth Borne évoque maintenant son parcours personnel et comment elle a “déjoué” son “destin tracé”. “C’est à la République que je veux rendre un peu de ce qu’elle m’a donné”, dit-elle, en rendant hommage aux 33 premières femmes à entrer dans l’Hémicycle au lendemain de la Libération, au “courage” et à la “force” de Simone Veil.

16h23 : “Je viens de vous présenter l’ambition que porte mon gouvernement. Les moyens de l’atteindre pourront être enrichis et amendés.”

“Nous avons les moyens et la volonté de nous retrouver autour de valeurs et d’objectifs communs et de porter des majorités d’idées, martèle une nouvelle fois Elisabeth Borne. L’heure n’est pas à nous compter, mais à nous parler. La confiance se forgera texte après texte, projet après projet. Nous travaillerons en bonne foi et en bonne intelligence, comme nous le demandent les Français.”

16h19 : Elisabeth Borne rend hommage aux militaires français disparus en opérations, ce qui provoque une salve d’applaudissements dans l’Hémicycle.

(Xose Bouzas / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP)

16h15 : Quelques applaudissements du côté de LR et du RN au moment de rendre hommage à Hugo Duminil-Copin et à sa médaille Fields. En revanche, pas du côté de LFI

16h16 : “Nous devons assurer l’avenir de la filière agricole. Bâtissons ensemble une loi d’orientation et d’avenir pour l’agriculture.”

Dans l’Hémicycle, Elisabeth Borne milite pour des transmissions d’exploitations agricoles facilitées et des assurances récoltes renforcées, notamment.

16h12 : Elisabeth Borne propose de supprimer la Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) dès la loi de finances 2023.

16h12 : “La souveraineté, c’est notre capacité à peser et à affronter les crises. Elle est profondément française et européenne.”

Dans son discours, Elisabeth Borne rappelle que “l’Union européenne nous protège” et se targue du bilan de la France à la présidence du Conseil de l’UE. En matière énergétique, “nous gagnerons notre souveraineté grâce au nucléaire et aux énergies renouvelables”.

16h10 : Elisabeth Borne souhaite que le temps de présence des forces de l’ordre sur le terrain soit doublé “d’ici 2030”. Elle a également évoqué 200 nouvelles brigades de gendarmerie et onze nouvelles unités de forces mobiles.

(FRANCEINFO)

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