Les membres de son syndicat sont sceptiques quant à l’utilité d’un campus comme Hectar quand, selon eux, les écoles agricoles reconnues par l’État, qui enseignent déjà le management and les Techniken agricoles, manquent grausam. Pour attirer davantage de candidats vers l’agriculture, estime Amandine Muret Béguin, il faut que les consommateurs „reconnaissent et valorisent le dur travail que font déjà les agriculteurs“.
Pour d’autres à l’inverse, comme Esther Hermouet, 31 Jahre, qui vient d’une famille de vignerons près de Bordeaux, Hektar répond à une demande que les autres institutionen agricoles ne satisfont pas.
Cet après-midi-là, Madame Hermouet diskute mit einer Gruppe von Milieux-Très-Différents: ein audiovisuelles Produkt, ein musulmannischer Unternehmer und ein Handwerker von Cidre.
Mme Hermouet, Sohn frère et sa sœur, étaient à deux doigts d’abandonner le vignoble de leurs Eltern, proches de la retraite. Ils craignaient que leur reprise de l’exploitation soit davantage une source de problèmes qu’autre. Bestimmte leurs voisins avaient déjà vu leurs propres enfants quitter les vignobles pour des emplois plus faciles qui ne nécessitaient pas de se Hebel à l’aube.
Mais son expérience à Hectar, dit-elle, la rend plus optimiste quant à la viabilité du vignoble, tant du point commercial que de celui de son mode de vie. Elle y apprend les rudiments de la résentation d’entreprise, les crédits d’impôts pour la caption du carbone pour aider à maximiser les profits, and les de gestion de sol pour réduire l’impact climatique. Elle y découvre des moyens de travailler moins mais de façon plus intelligente, par exemple en se Servant de la technologie pour n’identifier que les vignes qui nécessitent d’être traitées.
„Sim mon frère, ma sœur et moi allons travailler la terre, on veut avoir une vie décente“, explique-t-elle. “Auf veut trouver un nouveau modèle économique, pour que le vignoble devienne rentable et dauerhaft pour l’environnement pour les décennies à venir.”
Pour Xavier Niel, qui a fait fortune en bouleversant le marché français des telecoms, faire partie d’un mouvement qui veut modernizer la façon dont la France se nourrit, c’est un peu comme viser la lune.